Amusante, touchante, émouvante, la pièce Michelin est un récit tout aussi direct que complexe sur l’importance de tracer son propre chemin… et de prendre soin de soi et des autres. À voir.
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Ultimement, on aurait aimé que Redbone Coonhound se mouille davantage, prenne des risques, plutôt que de simplement s’approcher tout près du précipice, mais sans oser sauter.
On navigue dans un flou tout au long de la pièce, sans jamais savoir si l’on doit prendre tout cela au sérieux, ou s’il s’agit plutôt d’une oeuvre destinée à nous faire rire.
Simple mais particulièrement efficace, Lolita n’existe pas réussit largement à atteindre son objectif, soit celui d’explorer ce mythe qui est toujours bien présent dans la culture populaire, et qui est encore très largement exploité à tort et à travers.
« Ce que j’ai envie de faire, c’est proposer une histoire qui est rebondissante, qui a des allures de montagnes russes, qui est une sorte d’éloge à l’adolescence, mais qui suscite aussi des réflexions sur des thématiques à propos desquelles nous essayons d’habitude de ne pas avoir de discussions. »
Pour une deuxième édition, Didier Lucien a invité les écrivains adolescents du Québec à composer leurs textes en réfléchissant au thème de nos rêves nocturnes. Les talents n’ont pas manqué. Il en résulte Scriptarium 2019, une pièce intelligente, drôle et rafraîchissante, qui est offerte dans la salle Fred-Barry du théâtre Denise-Pelletier, avant d’être présentée à Québec.
La salle Fred-Barry du Théâtre Denise-Pelletier accueille la nouvelle production du dramaturge et metteur en scène Steve Gagnon, Pour qu’il y ait un début à votre langue.
Entre enfance et adultère (l’aire adulte!), le passage obligé de l’adolescence n’est pas de tout repos. L’initiative du Scriptarium 2018 en célèbre la pensée effervescente. Les réponses mordantes, touchantes et drôles à la lettre que Stéphane Crête adressait à la jeunesse, sont la structure sur laquelle ce joyeux chaos se construit, à Fred-Barry.
« J’ai pas compris ce qui s’est passé. C’était quoi l’histoire? », a demandé un jeune spectateur à son ami, à la sortie du théâtre Denise-Pelletier où était présentée la première d’Abîmés – quatre courtes pièces de Samuel Beckett.
C’est la tempête au-dehors. Le père sort, s’écroule, disparait dans la neige. Quatre frères restent seuls dans leur maison. L’ainé prend les rênes, devient la figure d’autorité face aux trois plus cadets. L’un est studieux, le plus jeune est comique, et Léo est… silencieux.