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Dans un futur lointain, l’humanité, au bord du gouffre, se réfugie sous terre face à la menace des Nonsuch, d’étranges créatures extraterrestres que personne n’est vraiment en mesure d’identifier. Coincé dans un bunker, l’un des soldats humains cherchera à savoir si cette menace existe réellement.

Vingt ans! Vingt ans que le scénariste et réalisateur français Luc Besson a jeté un pavé dans la mare du cinéma de science-fiction en lançant Le Cinquième élément, un film qui combinait l’action d’un blockbuster hollywoodien à l’amour des visuels léchés qui anime le cinéaste. Avec Valérian et la Cité des mille planètes, Besson tente de raviver cette flamme et de rappeler ce grand succès.

Drôle de foutoir que ce Once Upon a Time in Venice qui ne montre aucun scrupule à exhiber les différents grands films qu’il tente de pasticher, sans jamais parvenir à camoufler à quel point il est un mauvais film. Toutefois, c’est aussi la première fois depuis longtemps où l’on voit Bruce Willis avoir autant de plaisir, ce, encore une fois, un peu à nos dépens.

Disney Marvel veut les droits de Spider-Man depuis tellement longtemps déjà que maintenant qu’ils se sont enfin approprié le butin des mains de Sony, ils ont couru plus vite que leur ombre pour livrer un film qui anticipe le plaisir avant même d’avoir laissé le temps au spectateur de le ressentir. Après tout, quand ton film de superhéros débute avec la genèse de ton vilain de service, disons que cela en dit long sur là où résident les forces de ton entreprise.

Un été montréalais n’est pas complet sans le Festival Fantasia et sa programmation toujours plus éclectique et éclatée. Voilà donc que s’ébranlera, dans une semaine, la caravane cinématographique de l’événement. Cette année encore, les têtes d’affiche ne manquent pas… tout comme les étrangetés les plus surprenantes.

Judd Apatow nous revient avec ce qui pourrait bien être sa production la plus délicate et sincère à ce jour, The Big Sick, permettant au brillant Kumail Nanjiani (dans son propre rôle, ou presque) d’enfin briller à la pleine hauteur de son talent. Se dévoile rapidement une comédie romantique au penchant dramatique aussi poignant qu’irrésistible.

Mais qu’allait-on donc faire dans cette galère? Voilà que la célèbre phrase du Menteur, de Corneille, vient à l’esprit en écoutant, un dimanche en fin de soirée, la reprise du classique Conan the Barbarian sortie en 2011. S’il est vrai que l’original, mettant en vedette nul autre qu’Arnold Schwarzenegger, était loin d’être parfait, la reprise, elle, est tout simplement immonde.

The Bad Batch was a hard movie to find. It has a popular cast and an even more popular concept; I would expect it to be advertised more than it currently is. It stars such powerhouses as Keanu Reeves, Jim Carey and Jason Momoa. Add an upcoming female lead (played by Suki Waterhouse) and throw them in a post-apocalyptic environment with a cannibalistic cult and you should have a hit. This movie just screams blockbuster. Instead, it sort of just appeared. Unfortunately, this movie won’t be in theatres for long. It is popular enough to get a handful of people to come out to the opening night at midnight on Friday during a national holiday.