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Si le territoire syrien occupé par le groupe armé État islamique (EI) n’est plus qu’une fraction de ce que fut le « califat » au faîte de sa gloire, fraction qui est de plus soumise depuis samedi à un assaut donné par les Forces démocratiques syriennes soutenues par les États-Unis, et par les troupes françaises, l’organisation terroriste représente toujours une menace, estiment des experts des Nations unies.

Ce qui devait arriver arriva: le nouveau président américain, fort de son cortège de bénis oui-oui, a décidé de « punir » son homologue syrien Bachar al-Assad pour l’attaque au gaz menée contre des civils, plus tôt cette semaine, et a bombardé l’aéroport militaire syrien d’où aurait été lancé l’ignoble assaut.

Rencontre avec Zayné Akyol, la réalisatrice du documentaire Gulîstan, terre de roses, diffusé au Québec et produit par l’Office national du film au Canada. Premier long métrage de l’artiste, il présente la facette féminine du PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan. Il dresse un portrait de ces femmes, parties s’engager pour une lutte idéologique et armée.

Ils sont d’origine maghrébine. Ou moyen-orientale. Ils vivent en France. Ou en Belgique. Rachid et Mouloud, rescapés de la première fournée des Lettres arabes, remontent sur les planches de l’Espace Libre, le temps de jeter un pavé dans la mare socio-géopolitique.

Le correspondant au Moyen-Orient du magazine The Economist, Nicolas Pelham retient de sa lecture de quatre ouvrages récents portant sur la société saoudienne les questions suivantes: ce pays est-il à la source de l’État islamique, et le royaume représente-il la conformité orthodoxe ou la pluralité culturelle? Le correspondant rend compte des témoignages recueillis lors de son dernier voyage dans le New York Review of Books, à paraître le 13 octobre.

Il est maintenant établi que Twitter et Facebook peuvent se transformer en camps retranchés pour les défenseurs les plus dogmatiques d’une idéologie — où chacun peut n’écouter que les gens qui pensent comme lui. Du coup, ce n’était qu’une question de temps avant que les militaires eux-mêmes parlent de « zones de guerre » et suggèrent une riposte.

À la suite des attentats dans la ville d’Istanbul, mardi dernier, le célèbre linguiste a accusé le président de la Turquie d’hypocrisie de par ses politiques à l’égard de l’État islamique. Ce dernier a répliqué en le traitant d’ignorant.