La réappropriation de la femme par le biais de son corps et de son destin est puissante, la pièce s’assurant toujours de nous éblouir. Le mariage des époques qui conservent l’aspect fantaisiste tout en y incorporant judicieusement des éléments de notre modernité aident à renforcer le côté intemporel de l’objet.
Browsing: drame
La réalisatrice Maryse Legagneur explore une relation difficile mêlant traumatisme et nourriture traditionnelle. Dans ce nouvel épisode, Hugo Prévost et Kevin Laforest plongent dans un film aussi appétissant que troublant.
The Substance est une expérience cinématographie totale et complète qui amuse et s’amuse à égale mesure. Il n’y a pas grand chose qui semble y manquer ou qui semble de trop. Ce n’est pas la perfection, bien sûr, car celle-ci, comme le comprendront ses personnages, est inatteignable, mais c’est une écoute d’une époustouflante intelligence qu’on n’est pas prêt d’oublier de sitôt.
« On s’attend à ce que l’on parle du Vietnam, et que l’on éduque le public à propos de nos origines vietnamiennes, eh bien, on va le faire avec les connaissances que nous avons. »
Dans cet épisode de La Voûte, Hugo Prévost et Kevin Laforest s’enfoncent dans les ténèbres pour revisiter ce chef-d’oeuvre remontant à 1991.
Hugo Prévost et Kevin Laforest s’aventurent du côté du plus récent film d’André Forcier, un portrait original d’un Faubourg à m’lasse aujourd’hui disparu.
Hugo Prévost et Kevin Laforest découvrent le premier long-métrage d’Annick Blanc, qui en signe aussi le scénario. Une oeuvre qui mêle drame, amitié, masculinité toxique, violence et onirisme.
Le Comte de Monte Cristo possède les bases d’une savante comédie, mais on a choisi le sérieux, ici. Reste alors à chaque spectateur de décider s’il adhère ou non à l’ensemble, devant cet étalage compétent de talent, mais dont les chemins empruntés peinent souvent à convaincre véritablement, au-delà de ce mirage de bonne fortune.
Caligula possède bien des qualités cinématographiques. Et il est même possible d’avancer l’argument selon lequel il est tout à fait approprié de vouloir créer une oeuvre construisant une ambiance, une atmosphère, plutôt que d’offrir un point de vue beaucoup plus terre à terre, par exemple avec des considérations sociales ou politiques. Cela étant dit, le film n’évolue jamais au-delà de cette prémisse. Ironiquement, d’ailleurs, il s’agit d’une oeuvre à la fois trop longue et trop courte. En l’état, Caligula est certainement du cinéma, mais certainement pas un bon film.
« On s’aime, nous deux », ne cesseront jamais de se dire nos deux protagonistes, comme s’ils avaient besoin de se convaincre. Et nous, pauvres cinéphiles, qui attendons avec impatience qu’on nous propose un tantinet de profondeur, un tout petit peu de développement des personnages, on regarde finalement le générique apparaître en se demandant s’il est possible de récupérer les 107 minutes de Simple comme Sylvain.