Crépuscule pour un tueur, s’il est un film techniquement très bien réussi, avec du bon jeu et une brochette d’acteurs qui n’ont rien de particulier à se reprocher, n’en reste pas moins simplement une oeuvre cinématographique.
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Brillamment jouée, avec une excellente utilisation des décors et du vaste espace scénique du théâtre, Châteaux du ciel est une oeuvre classique, certes, mais un genre de pièce qui a toujours sa place.
Au premier (et même au second) regard, tout fonctionne, dans ce Traitement de la nuit : les comédiens sont bons; les répliques sont soit drôles, soit assassines, soit les deux; la scène de l’Espace Go est parfaitement bien utilisée… Mais quelque chose cloche.
Ultimement, Devotion ne s’engage pas assez du côté du drame, pas plus qu’il ne plonge assez du côté du film de guerre; il en résulte un long-métrage correct, mais sans plus, ce qui explique sans doute son résultat plus que décevant au box-office.
Habituée des courts-métrages, la réalisatrice et scénariste Miryam Charles présente Cette maison, un film particulièrement intime et personnel qui prend l’affiche au Québec, après une tournée de festivals un peu partout dans le monde.
Même si on peut comprendre pourquoi le chef Slowik déciderait de tuer une douzaine de personnes pour se venger d’une carrière entière de tourments, le film se termine et l’on se dit que The Menu est bien, mais pas renversant.
« C’est l’histoire d’une rupture amoureuse que je n’ai pas vécue, mais qui est analysée, comme si nous essayions de voir les émotions, de ce qui s’est passé entre deux personnes, le tout avec les yeux de la science. »
Le concept unidimensionnel de Vous êtes animal aurait pu être clos en une trentaine de minutes. Au lieu de cela, on étire le « plaisir » pendant 1h40, toujours avec ce vernis de « documentaire théâtral » qui a fait son temps.
On navigue dans un flou tout au long de la pièce, sans jamais savoir si l’on doit prendre tout cela au sérieux, ou s’il s’agit plutôt d’une oeuvre destinée à nous faire rire.
The Apology ressemble malheureusement à quantité d’autres films du genre, l’aspect Noël en plus. C’est un peu l’équivalent de ce cadeau inintéressant reçu le 25 : on se force pour sourire un peu, mais intérieurement, on sait bien que tout cela sera rapidement oubliable.