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Le duo formé des agents du FBI Bill Tench et Holden Ford poursuivent leur travail de découverte de la psyché des pires tueurs de l’histoire dans une deuxième saison de Mindhunter, diffusée sur Netflix, où les deux hommes rencontreront entre autres le tristement célèbre Charles Manson.

Heureux celui qui découvre pour la première fois The Grand Budapest Hotel, comédie dramatique réalisée et coécrite par l’inimitable Wes Anderson. Merveilleuse porte d’entrée dans l’univers du cinéaste, cette oeuvre sortie en 2014 réussit un tour de force rarement vu ailleurs dans le septième art: nous faire regretter que le film ne dure que 99 minutes.

Peut-on réellement trahir son pays en s’assurant d’éviter une Troisième Guerre mondiale et la destruction de notre civilisation par le feu nucléaire? Red Joan, un drame d’espionnage basée sur des faits réels et réalisé par Trevor Nunn, pose la question, mais évite d’y répondre. Il en reviendra au public de juger des actes de l’héroïne de cette adaptation du roman du même nom.

Dans le cadre d’une édition plus ou moins discrète, une première mondiale non-négligeable a eu lieu cette année au Festival international de films Fantasia et disons que Ready or Not, sans rien réinventer, a certainement su faire lever la foule qui s’était réunie en grand nombre pour cette projection présentée à guichets fermés.

Mais que se passe-t-il à Middle River? Dans Knives and Skin, présenté dans le cadre du Festival Fantasia, cette petite ville du Midwest est le lieu d’étranges phénomènes quasi-psychédéliques qui surviennent après la disparition de Carolyn Harper, abandonnée après une séance de necking qui tourne mal.

After aurait bien pu être la quintessence de la romance adolescente débordante de clichés dans sa forme la plus nulle possible. Pourtant, en connaissant très bien son public cible, au risque de le pervertir, cette adaptation d’une fan fiction du groupe One Direction s’en sort avec une révélation qui détonne.

L’argent, c’est mal. Mais en avoir toujours plus, c’est bien: voilà le précepte de Money, un remake de Wall Street à la sauce coréenne somme toute assez satisfaisant, qui est présenté dans le cadre du Festival Fantasia, à Montréal.

Un an après avoir créé toute une commotion dans le domaine cinématographique avec son merveilleux Hereditary, Ari Aster revient à nouveau avec l’intention de chambouler notre définition de l’horreur. Ce faisant, il propose un délire encore plus concis et ambitieux qu’à son premier tour de piste. Sans être surprenant, Midsommar impressionne et nous colle à la peau, soyez prévenus.

Au nord du cercle polaire, Mads Mikkelsen attend. Ou c’est plutôt son personnage de Overgard, pilote dans l’Arctique, qui attend les secours. Coincé depuis l’écrasement de son petit avion, il vivote du mieux qu’il peut en espérant être secouru dans le cadre du drame Arctic, lancé au Festival de Cannes, l’an dernier, puis en salles, cet hiver.

L’an de grâce 1923, quelque part en Norvège: Edward Charles Harden, accompagné de la jeune Lissie, arrive finalement à Graavik, un petit village coincé dans un fjord. Dans le cadre d’un polar excessivement bien exécuté, Edward devra tirer son épingle du jeu et survivre face au terrifiant Draugen.