Browsing: culture

L’OSM présentait mercredi soir un concert dédié exclusivement à la musique de films de science-fiction, reprenant notamment au programme des grands classiques comme 2001 l’odyssée de l’espace, Star Wars ou encore Retour vers le futur. Sans tomber dans la facilité dans le choix d’un tel programme, l’orchestre livra une prestation appréciée des jeunes et moins jeunes spectateurs, mais l’interprétation de l’orchestre semblait, hélas, parfois peu inspirée.

Ambitieux huis clos spatial mettant en vedette Peter Shinkoda, Jeananne Goosens et Caroline Dhavernas, Hyperlight est déjà le troisième court-métrage de science-fiction de Nguyen-Anh Nguyen, et pour souligner sa sortie, Pieuvre.ca s’est entretenu avec le réalisateur québécois.

Voilà un an que le conjoint de Lena, ancienne militaire devenue professeure de biologie, est disparu en service commandé. Son retour inattendu provoquera une série d’événements qui permettront de lever le voile sur un étrange mystère qui pourrait entraîner l’Annihilation de l’espèce humaine.

Si certaines bandes dessinées sont sages comme des images, ce n’est certainement pas le cas de Bloody Mary, un roman graphique décapant sorti tout droit de la France des années 1980.

La dernière création de la compagnie ISOCHRONE se joue en ce moment, au Théâtre La Chapelle. La turbulente déroute de la mémoire qu’illustre Temps Universel +1 met en scène une interprète seule… Seule avec ses doubles et ses échos, en rencontre constante avec l’éclat des souvenirs qu’elle reconstruit devant nous.

Dans une salle de concert située quelque part dans un quartier central de Montréal, les destins de quatre individus vont s’entrecroiser le temps d’un spectacle haut en couleur, dans la fort intéressante bande dessinée De concert, rédigée et illustrée à quatre mains, et éditée chez La mauvaise tête.

Le nouveau disque du trio montréalais Velvet Noise, Vertigo, est bon. Le mot ne dit rien; il dit tout. Lancé il y a un peu plus d’une semaine, ce disque court – doit-on dire long jeu, comme à l’âge d’or des vinyles? Doit-on plutôt parler de disque, tout simplement? – évoque la beauté, la douceur, mais aussi une certaine mélancolie.

Ce n’est pas la première fois que l’orchestre baroque Arion se permet une incursion dans un répertoire qui est postérieur à l’époque baroque. Pour le dernier programme de sa série montréalaise 2017-2018, Arion s’est permis de piger dans le répertoire de W.A. Mozart et dans celui de Joseph Haydn.