Les chercheurs ont également examiné les coûts de la pollution atmosphérique liée aux incendies; en fonction de divers critères, les dégâts provoqués uniquement par les GES, en Californie, atteignent environ 100 millions de dollars. Pour l’ensemble des États-Unis, on parle plutôt d’un moins moins d’un milliard. Et à l’échelle planétaire, c’est environ 7 milliards.
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La Banque Laurentienne, la Banque Nationale, Desjardins, la Banque de Montréal, CIBC, la Banque royale du Canada et la Banque Toronto-Dominion ont un poids carbone supérieur à deux fois celui de l’ensemble du Canada.
Des étés avec une « humidité du sol de surface très basse » comme cette année, sont voués à se reproduire une fois par 20 ans au rythme où la planète se réchauffe.
« Même une industrie aussi puissante que le pétrole ou le gaz va devoir, à un moment donné, se tourner vers les réassureurs. Si juste une poignée de compagnies font ce virage, ça fait une grosse différence. »
Lorsqu’il est question de couvrir l’actualité climatique, il existe un risque de tomber dans le « catastrophisme », sans pousser la population à agir. UnPointCinq fait plutôt le pari de proposer un journalisme de solutions, basé sur la science.
Il faut se rappeler que lorsqu’on parle d’une augmentation de la température moyenne de notre planète de 1,5 degré depuis l’époque industrielle, au Groenland en revanche, l’augmentation est plutôt de 3 degrés.
Le directeur de l’information de Radio France juge que la COVID a joué un rôle d’accélérateur: la pandémie « a injecté de la science dans nos rédactions, un appétit, une nécessité et mis le doigt sur nos faiblesses. »
Dans l’état actuel des choses, « la crédibilité de l’Europe est exceptionnellement élevée », en dépit du fait que sa cible de 55% est déjà plus élevée que celle de la plupart des pays du reste du monde industrialisé.
Agir de la sorte, en taxant le CO2 plutôt qu’en utilisant un système de droits d’émission, est non seulement plus efficace sur le plan environnemental, écrivent les chercheurs, mais s’avère aussi être la méthode la plus efficace pour partager le fardeau de la lutte contre les changements climatiques.
« Ce que suggère réellement cette étude, c’est que lorsque cela est faisable, sur les plans économique et environnemental, ramener le bison pourrait avoir un effet positif encore plus marqué sur la préservation de la biodiversité. »