« Imaginez un hôpital sans fournitures, des gens qui boivent de l’eau non traitée et des patients avec très peu d’argent à qui l’on demande encore de payer pour leurs soins. C’est un vrai désastre. »
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Depuis l’entrée en poste de la nouvelle administration le 20 janvier dernier, on a pu apprendre que les mots « changements climatiques » faisaient partie d’une longue liste de mots dont la présence dans une demande de subvention pour une recherche mettait à risque de perdre celle-ci.
C’est un exemple des efforts entrepris ces dernières semaines pour sauvegarder des données scientifiques, en environnement et en santé, dans un contexte où bien des scientifiques craignent que ces données ne soient effacées, pour des raisons idéologiques.
Le 27 février, près de 900 employés de la NOAA apprenaient que leur emploi était coupé à la fin de la journée. Là comme dans d’autres agences gouvernementales depuis un mois, les coupes ciblent aveuglément les employés « temporaires ».
La collaboration scientifique avec le voisin américain reste pourtant prioritaire pour de nombreux chercheurs et à ce titre, le Québec aurait peut-être un avantage face aux autres provinces canadiennes.
À l’échelle mondiale, les glaciers devraient perdre dans leur ensemble entre le quart et la moitié de leur glace d’ici la fin du siècle, tout dépendant de la vitesse à laquelle se poursuivra le réchauffement climatique.
S’il s’agit de la nouvelle norme, c’est la fiabilité de la NOAA — une autorité reconnue à l’échelle internationale pour la collecte et l’analyse des données — qui sera mise en jeu.
Eric-Pierre Champagne doit chercher à assurer l’avenir des médias d’ici, au moment où les géants du web, comme Meta, s’accaparent non seulement les revenus en ligne, mais acceptent aussi des publicités mensongères.
« Les ménages plus pauvres, moins éduqués, les gens qui souffrent de diabète, ou qui ont de la difficulté à accéder aux services de santé » sont les plus à risque de mourir sous la chaleur extrême.
« Vous pouvez posséder la méthode la plus efficace pour extraire le CO2 de l’air, mais cela ne change rien à l’efficacité de la combustion. Vous conservez ces infrastructures inefficaces. »