Browsing: covid-19

Beaucoup d’Américains ont été soulagés ce mois-ci par les lignes directrices de leur Centre de contrôle des maladies (CDC): le coronavirus ne se transmet pas beaucoup par les surfaces des objets. Mais en réalité, il y avait longtemps que le CDC avait dit ça, et il n’y a pas réellement eu de changements dans ses lignes directrices.

L’épidémie de fausses nouvelles autour du coronavirus continue de frapper très fort, et les chiffres rappellent plus que jamais à quel point le problème tourne autour des réseaux sociaux. La solution viendra-t-elle de plateformes qui prendront acte de leurs responsabilités, ou d’usagers qui comprendront mieux ce que « désinformation » veut dire?

Dès le début de l’épidémie de la COVID-19, les responsables de la Santé publique, au Québec comme ailleurs, ont insisté sur l’âge, comme facteur de risque. On a identifié les 70 ans et plus comme étant les plus susceptibles de subir des complications majeures, d’être hospitalisés aux soins intensifs et, éventuellement, d’en mourir… Mais l’âge n’est pas le seul facteur de risque.

La COVID-19 frappe encore mais déjà, des chercheurs s’attèlent à déterminer d’où viendra la prochaine. Prédire l’inévitable pourrait-il être un jour possible?

Parmi les rumeurs que cette pandémie a vu éclore, celle voulant que la COVID-19 soit le résultat d’une manipulation dans un laboratoire en Chine a la vie dure. Et pourtant, rien de nouveau sous le soleil, constate le Détecteur de rumeurs: des théories similaires ont accompagné chaque grande épidémie à travers l’Histoire.

Il n’y a pas que la santé économique du pays (et des travailleurs) qui est affectée par la pandémie de COVID-19 et le confinement ordonné par les divers paliers de gouvernement. Selon les plus récentes données de Statistique Canada, c’est aussi la santé mentale des Canadiens qui a été largement mise à mal depuis le début de la crise.

Depuis le début de la pandémie, on entend dire qu’un vaccin pourrait être disponible dans 12 à 18 mois. Les plus optimistes évoquent même un délai de six mois, soit dès l’automne. Mais le fait qu’un vaccin soit « prêt » n’est pas la fin de l’histoire, constate le Détecteur de rumeurs.

L’interruption de la vie économique tout autour de la planète a eu une influence notable sur la pollution de l’air, comme le rappellent ces images de ciels bleus des villes et de joyaux naturels redécouverts, partagés récemment sur les réseaux sociaux. Mais pour les émissions de CO2, ce n’est pas aussi net.

L’une des premières personnes à avoir contracté le nouveau coronavirus aux États-Unis espère que son don de sang, riche d’anticorps, aidera à élaborer un traitement, alors que le virus a tué plus de 300 000 personnes à travers le monde, dont près de 100 000 dans son pays.

Il fallait s’y attendre: après tout, le président des États-Unis, celui-là même qui doit normalement représenter l’autorité politique suprême du pays, n’a-t-il pas affirmé à maintes reprises, au début de la pandémie, que la COVID-19 « est comme une grippe », et « qu’elle disparaîtra bientôt, par miracle »? Selon un récent sondage du Pew Research Center, la confiance des Américains envers les scientifiques et les autorités médicales a augmenté depuis le début de la crise sanitaire, mais cet appui est divisé en fonction des allégeances politiques.