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Forcé, comme tous les autres musées du Québec, de fermer ses portes en raison de la pandémie de COVID-19, le Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM) reprend du poil de la bête et a rouvert ses portes depuis le 6 juin, en relançant son exposition Momies égyptiennes: passé retrouvé, mystères dévoilés. Rencontre avec Nathalie Bondil, directrice générale et conservatrice en chef de l’institution de la rue Sherbrooke.

Multiplication des classes virtuelles, mais en contrepartie des salles de cours désertes, des laboratoires inactifs ou fonctionnant avec un personnel minimal et d’énormes baisses de revenus: les universités ont vu leur quotidien changer radicalement avec la pandémie. Et un retour à la normale n’est pas à l’horizon.

La pandémie de la COVID-19 a généré son lot de théories du complot. Certains croient que des humains ont créé le virus, d’autres pensent plutôt que les tours 5G rendent les gens malades, sans compter ceux qui croient carrément que le coronavirus n’existe tout simplement pas.

Il a beaucoup été question de l’approche de la Suède depuis le début de la pandémie. Sa gestion de la crise, assez unique, lui a valu de nombreuses critiques. S’agit-il d’un échec ou le verdict est-il encore à venir?

Une compagnie virtuellement inconnue du milieu scientifique aurait-elle pu créer à elle seule une immense base de données des dossiers de plus d’un millier d’hôpitaux sur tous les continents? Dans cette histoire qui restera dans les mémoires sous le nom de Lancetgate, ce qui étonne n’est pas tant qu’un entrepreneur manifestement très ambitieux soit allé aussi loin, mais que personne chez The Lancet n’ait flairé le piège.

Du jamais vu depuis près d’un an et demi: selon les plus récentes données publiées par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), les prix des denrées alimentaires ont chuté à leur plus bas en 17 mois en raison de la pandémie de COVID-19.

Alors que le Québec voit sa courbe de cas de coronavirus redescendre progressivement, les experts, comme partout ailleurs dans le monde, continuent de craindre une deuxième vague. Le Détecteur de rumeurs s’est demandé quelle forme pourrait prendre cette vague… ou ces vagues.

Au moment où le Québec vit son déconfinement, plusieurs se demandent s’ils doivent vraiment garder leur distance des personnes qui ne sont pas malades. C’est ignorer qu’on peut transmettre le virus sans avoir de symptômes et que certaines personnes n’en développent jamais. Des explications.

Une crise mondiale n’attend pas l’autre: à peine notre société a-t-elle commencé à surmonter – en partie, du moins – la première vague de la COVID-19 que déjà, les économistes lancent de sévères avertissement. Déjà largement endettés avant l’éclatement de la pandémie, plusieurs États sont maintenant au bord du gouffre en raison des emprunts massifs rendus nécessaires par la mise en veilleuse de larges pans de leurs économies et des programmes d’aide qui y sont associés.

Beaucoup d’Américains ont été soulagés ce mois-ci par les lignes directrices de leur Centre de contrôle des maladies (CDC): le coronavirus ne se transmet pas beaucoup par les surfaces des objets. Mais en réalité, il y avait longtemps que le CDC avait dit ça, et il n’y a pas réellement eu de changements dans ses lignes directrices.