The Valet dure deux heures. Deux heures durant lesquelles il ne sera pas nécessaire de penser à la pandémie, à la crise climatique, aux prochaines élections québécoises, ou encore à la guerre en Ukraine. C’est sans doute là sa plus grande qualité.
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Anders Thomas Jensen a réussi son pari : Riders of Justice vaut certainement la peine d’être vu.
Take Me to the River s’avère une excellente surprise qui ne ménage pas son caractère hautement instable et imprévisible.
Terriblement violent, érotique parfois jusqu’à l’excès, avec des interprétations hors du commun , Benedetta n’est pas un film grand public. Il s’agit plutôt d’une oeuvre franchement audacieuse, frôlant l’exploitation, qui conviendra davantage à des cinéphiles avertis.
Marry Me est donc une œuvre classique, décidément, mais juste assez soignée et conscientisée pour s’élever au-dessus de bon nombre de productions du genre, dont certaines sont décidément très oubliables.
Le film n’est pas mauvais. Il est simplement… ordinaire. De quoi occuper une soirée en cherchant quelque chose sur Netflix, certainement.
Les protagonistes sont là, ils existent, chacun avec ses joies, ses peines, ses désirs et ses craintes. Et l’ensemble clique, tout fonctionne.
Doctor Strange in the Multiverse of Madness représente un certain miracle : soit d’arriver à ne rien faire de satisfaisant autant avec le talent réuni que les possibilités qui lui étaient offertes et ce, pratiquement sur un plateau d’argent.
Ambulance tient de la crème glacée, ou du gros sac de popcorn: le goût peut être satisfaisant, sur le coup, mais impossible de nier que l’ensemble n’est formé que de calories vides qui seront bien rapidement oubliées.
Le film est un témoin du moment où la réalité virtuelle était la nouvelle tendance, où le début d’internet laisse entrevoir un monde de possibilités infinies, et où la technologie était à la fois mystérieuse et merveilleuse.