Est-ce un message des extraterrestres? Tout de suite après la fin de sa relation amoureuse, Sam perd connaissance et ne se réveille que quelques heures plus tard. A-t-il été enlevé? Qu’est-ce que ce son qu’il tente de reproduire depuis?
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Bien qu’il ait manifesté des pouvoirs surnaturels dans le passé et qu’il ait toujours ressuscité, comme par magie, pour commettre de nouveaux massacres, le règne de terreur de Michael Myers se termine une fois pour toutes avec Halloween Ends.
The Apology ressemble malheureusement à quantité d’autres films du genre, l’aspect Noël en plus. C’est un peu l’équivalent de ce cadeau inintéressant reçu le 25 : on se force pour sourire un peu, mais intérieurement, on sait bien que tout cela sera rapidement oubliable.
Get your ass to Mars! Véritable classique des films d’action, Total Recall a vieilli, certes, mais n’a pas pris une ride. Afin de débuter l’année en lion, Hugo Prévost et Kevin Laforest ont choisi de film culte pour le 75e épisode du podcast Rembobinage.
Loin d’être le meilleur film de superhéros, Black Adam devrait cependant divertir les lecteurs assidus des comics de DC qui connaissent déjà le personnage de Teth Adam, et qui seront ravis de voir les membres de la Justice Society of America au grand écran pour la première fois.
Malheureusement, aucun des deux univers décrits par John Swab n’est suffisamment complet pour former un film à lui seul, et la combinaison des deux fait en sorte que lorsque le générique de Candy Land se met à défiler, on constate que les 90 minutes écoulées ont été agréables, certes, mais sans plus.
Tout n’est pas à jeter, dans cet Onion Glass, tant s’en faut. Mais on a l’impression que le résultat est un peu sans saveur, comme si on avait prévu tout un plan pour nous amener vers une éventuelle conclusion rocambolesque et surprenante, mais que l’on avait abandonné en cours de route.
Violent Night plaira aux amateurs de bonnes choses : la joie de se retrouver en famille, d’abord, puis le plaisir indicible de voir un méchant passer de vie à trépas en tombant sur un gigantesque stalagmite de glace.
Babylon est un fourre-tout immense qui n’en dépasse jamais le stade. Un projet inspirant constamment en train de s’égarer qui, s’il avait été mieux travaillé, aurait décidément pu créer l’événement, comme il semble convaincu de le faire.
Casse-tête sans réelle résolution, L’homme de la cave captive. Sa caméra capte ses personnages et ses lieux et souvent même les trappe à l’intérieur, dans une angoisse prenante que les mélodies de Bruno Coulais rattrapent rapidement.