Loin d’être le meilleur film de superhéros, Black Adam devrait cependant divertir les lecteurs assidus des comics de DC qui connaissent déjà le personnage de Teth Adam, et qui seront ravis de voir les membres de la Justice Society of America au grand écran pour la première fois.
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Malheureusement, aucun des deux univers décrits par John Swab n’est suffisamment complet pour former un film à lui seul, et la combinaison des deux fait en sorte que lorsque le générique de Candy Land se met à défiler, on constate que les 90 minutes écoulées ont été agréables, certes, mais sans plus.
Tout n’est pas à jeter, dans cet Onion Glass, tant s’en faut. Mais on a l’impression que le résultat est un peu sans saveur, comme si on avait prévu tout un plan pour nous amener vers une éventuelle conclusion rocambolesque et surprenante, mais que l’on avait abandonné en cours de route.
Violent Night plaira aux amateurs de bonnes choses : la joie de se retrouver en famille, d’abord, puis le plaisir indicible de voir un méchant passer de vie à trépas en tombant sur un gigantesque stalagmite de glace.
Babylon est un fourre-tout immense qui n’en dépasse jamais le stade. Un projet inspirant constamment en train de s’égarer qui, s’il avait été mieux travaillé, aurait décidément pu créer l’événement, comme il semble convaincu de le faire.
Casse-tête sans réelle résolution, L’homme de la cave captive. Sa caméra capte ses personnages et ses lieux et souvent même les trappe à l’intérieur, dans une angoisse prenante que les mélodies de Bruno Coulais rattrapent rapidement.
Au lieu d’une grande oeuvre, The Saint est donc un film sympathique, avec des acteurs qui tirent bien leur épingle du jeu sans être fantastiques. Et il faut être honnête : ce long-métrage aurait certainement conservé sa place dans le palmarès des tires oubliables, mais pas oubliés, si ce n’était de cette fameuse fusion nucléaire.
Avatar : The Way of Water est un grand spectacle. Ce grand spectacle est par ailleurs très long, en dépassant la barre des trois heures. Il est, enfin, exactement ce que s’attendaient de retrouver tous ceux qui réclamaient le film avec insistance.
Mondes de glace jette efficacement les bases d’un regard critique, teinté de vert (et de blanc), sur notre monde et notre existence. Il en revient sans doute à nous, ensuite, de compléter le périple.
Comédie, action, drame, science-fiction, documentaire… pour le 74e épisode du podcast, Hugo Prévost et Kevin Laforest parlent de leur films préférés depuis janvier.