The Portrait ne coche peut-être pas toutes les cases, mais pour un premier film, le mandat est largement réussi. À découvrir, donc, pour un peu de fraîcheur dans un genre cinématographique légèrement usé.
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Au podcast, Hugo et Kevin se prononcent sur ce nouveau film portant sur celui qui fut empereur de tous les Français.
La production d’un seul film hollywoodien entraîne le dégagement d’environ 3000 tonnes de CO2, soit l’équivalent d’effectuer 300 tours de la planète en voiture.
Dumb Money est un film sympathique, avec de bons acteurs, à propos d’un phénomène unique qui s’est produit à une époque qui nous semble aujourd’hui bien lointaine. Mais il ne s’agit en aucun cas d’un manifeste pour une révolution boursière, tant s’en faut.
Plutôt que de s’appuyer seulement sur les scènes d’action, The Fugitive est un drame policier qui fait appel à l’intelligence des spectateurs, et c’est sans doute la raison pour laquelle il est devenu un classique. Grâce à cette édition 30ème anniversaire, il est désormais possible de voir (ou de revoir) ce film incontournable dans une qualité visuelle inégalée.
Sur papier, Our Son a donc tout de la production prestigieuse. Dans les faits, puisqu’il se retrouve dans le créneau des films gays, ce qui est un peu absurde, on ne lui a certainement pas offert de traitement royal.
Franchement sympathique, voire carrément drôle par moments, Bernadette est un hommage en demi-ton, un documentaire mâtinée de fiction. Si l’on ne donne pas dans le biopic dramatique, Catherine Deneuve mène ce Bernadette d’une main de maître, et justifie à elle seule le visionnement de ce film.
Hors-saison est d’une précision et d’une sensibilité unique. Stéphane Brizé est l’un des grands cinéastes français contemporains et il le prouve à nouveau sans problème, sa mise en scène frôlant régulièrement l’admiration.
Femme nous entraîne donc dans un maelström d’émotions qui, à l’instar de ses personnages, ne cherche pas à nous laisser nous en sortir indemnes.
Close to You demeure un film nécessaire et actuel qu’on a voulu rassembleur, mais qui ne l’est qu’à moitié. Pour le public, il s’agit de savantes retrouvailles avec le talentueux Elliot Page, et mis à part quelques réflexions bien lancées, on regrettera que le discours post-transition manque de convictions.