Les joueurs en quête d’un nouveau Blasphemous risquent de rester un peu sur leur faim malgré d’abondantes similitudes, mais pourront assurément y trouver leur compte s’ils se tiennent pour dit qu’il vaut mieux réviser un tantinet leurs attentes.
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Loin d’être le meilleur chapitre de l’univers cinématographique inspiré des enquêtes paranormales du couple Ed et Lorraine Warren, The Nun II est quand même légèrement mieux réalisé que le volet précédent, et cette suite devrait plaire aux amateurs de films d’horreur préférant une bonne ambiance gothique aux effusions de sang.
Magnifique, franchement sympathique, rigolo par moments… Dave the Diver est un jeu tout à fait réussi, mais avec quelques irritants. Peut-être est-ce imputable aux préférences de ce journaliste; peut-être que les amateurs de gestion et d’aventure y trouveront plus largement leur compte. Quoi qu’il en soit, le jeu réussit à se démarquer.
Vampire Hunters a plusieurs bonnes idées. Et on se prend, peu à peu, à vouloir rapidement replonger dans l’action, une fois notre héros terrassé. Mais il est impératif que les développeurs ajustent le niveau de difficulté si l’on souhaite que l’expérience soit plus agréable, et moins éprouvante. Cet appel sera-t-il entendu?
En bref, il s’agit d’un titre légèrement amélioré depuis l’édition 2023. On ne réinvente pas la sauce, mais est-ce qu’on a vraiment besoin d’avoir autre chose que ça?
Toni, en famille n’en demeure pas moins un feel-good movie brillant (souvent très drôle et très juste) et fort d’une lucidité riche à découvrir. Un long-métrage conçu avec un soin palpable qui nous fait passer, avec bonheur, par une large gamme d’émotions.
Hugo et Kevin discutent d’APRÈS-COUPS, réalisé par Romane Garant Chartrand, de CELLES QUI LUTTENT, de Sarah Baril Gaudet, et de MADEMOISELLE KENOPSIA, de Denis Côté.
Sucré seize demeure donc une hypnotisante proposition loin des conventions (comme notre cinéma ose difficilement se le permettre, malheureusement), casse-gueule en totalité, mais nécessaire de par sa bienveillance et son intérêt marqué pour la beauté de la jeunesse.
Les comparaisons de certains critiques avec l’incontournable Hades (Supergiant Games) sont généreuses; le calibre n’est pas le même, mais nul besoin de mettre la barre si haut lorsque le plaisir est au rendez-vous.
Film certainement efficace, film franchement bien tourné – avec une multitude d’inserts fort à propos –, The Killer est du David Fincher qui tourne comme David Fincher. Le résultat? Une oeuvre tout à fait intéressante qui s’inscrit dans une cinématographie aussi éclectique qu’intrigante.