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Vingt ans! Vingt ans que le scénariste et réalisateur français Luc Besson a jeté un pavé dans la mare du cinéma de science-fiction en lançant Le Cinquième élément, un film qui combinait l’action d’un blockbuster hollywoodien à l’amour des visuels léchés qui anime le cinéaste. Avec Valérian et la Cité des mille planètes, Besson tente de raviver cette flamme et de rappeler ce grand succès.

Si le projet POSSIBLES, avec ses 12 manifestations artistiques, multiplie les points de vue sur l’avenir de la métropole en s’appuyant sur, là aussi, une douzaine de thèmes divers, voilà que le réalisateur Patrick Péris a décidé de s’attaquer à forte partie: la démocratie, version 400e anniversaire de fondation de Montréal.

On dit parfois que les pires idées sont souvent les meilleures. Et n’eut été de l’apport considérable du surdoué Matt Reeves, probablement que ce reboot devenu une trilogie distincte dans l’ancestrale franchise de Planet of the Apes n’aurait jamais eu droit au blockbuster le plus ambitieux et audacieux depuis belle lurette. Comme quoi, quand Hollywood nous livre avec surprise l’un des films les plus courageux de l’année, en plus d’être l’un des meilleurs, il ne faut surtout pas le rater.

Drôle de foutoir que ce Once Upon a Time in Venice qui ne montre aucun scrupule à exhiber les différents grands films qu’il tente de pasticher, sans jamais parvenir à camoufler à quel point il est un mauvais film. Toutefois, c’est aussi la première fois depuis longtemps où l’on voit Bruce Willis avoir autant de plaisir, ce, encore une fois, un peu à nos dépens.

C’est tout? Seulement quatre épisodes? Le générique du quatrième – et dernier – épisode de la première saison de la télésérie Castlevania, diffusée sur Netflix, défile à l’écran, et voilà que l’on en voudrait plus. Beaucoup plus.

Disney Marvel veut les droits de Spider-Man depuis tellement longtemps déjà que maintenant qu’ils se sont enfin approprié le butin des mains de Sony, ils ont couru plus vite que leur ombre pour livrer un film qui anticipe le plaisir avant même d’avoir laissé le temps au spectateur de le ressentir. Après tout, quand ton film de superhéros débute avec la genèse de ton vilain de service, disons que cela en dit long sur là où résident les forces de ton entreprise.

Judd Apatow nous revient avec ce qui pourrait bien être sa production la plus délicate et sincère à ce jour, The Big Sick, permettant au brillant Kumail Nanjiani (dans son propre rôle, ou presque) d’enfin briller à la pleine hauteur de son talent. Se dévoile rapidement une comédie romantique au penchant dramatique aussi poignant qu’irrésistible.