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Proposez un thème aux Chiens de Navarres et attendez-vous à tout, mais vraiment à tout. Du 23 au 26 septembre, l’Usine C accueille le turbulent collectif et son projet fou, libre et insolent Une raclette. Tsunami d’imprévisibilités.

Le plus récent opus de Lise Tremblay, récipiendaire du Prix du Gouverneur général en 1999, est un récit qui a tout du chemin de croix et un peu du combat entre le bien et la mal. Le bien étant personnifié par le Chemin St-Paul, du côté de chez son père, et le mal par la maison en bardeaux, du côté de chez sa mère et de sa grand-mère.

Retour tant attendu, mercredi soir, du trio américain Black Rebel Motorcycle Club en sol montréalais. Après La Tulipe en avril 2010, c’était au tour du Théâtre Corona de vibrer sur ses fondations en raison des accords acides et des arrangements agressifs de ce band de la côte Ouest. Malgré un arrangement musical qui a surpris, les gars de BRMC n’ont franchement pas déçu, au contraire.

Décidément, il faut croire que le groupe rock Black Rebel Motorcycle Club tient mordicus à sa période de trois ans entre chaque parution d’album; le septième disque du trio américain, Specter At The Feast, s’apprête à atterrir dans les bacs des disquaires, après la sortie, en mars 2010, de Beat the Devil’s Tattoo. Trois ans, donc. Mais le résultat est-il satisfaisant? Sans grande révolution musicale, Specter At The Feast plaira grandement aux amateurs du genre.

Tangerine Dream, les pionniers allemands de la musique électronique et du rock progressif se produisaient hier à la salle Wilfrid Pelletier dans le cadre d’un évènement spécial au Festival International de Jazz de Montréal. Un évènement quasi-historique si l’on sait que leur dernier passage à Montréal remonte à il y a plus de 20 ans. Deuxième et dernier volet de notre dossier sur ce groupe mythique de l’histoire de la musique électronique.

La formation allemande Tangerine Dream, pionnier de la musique électronique et précurseur du rock alternatif atterri à la Salle Wilfrid Pelletier de la place des Arts pour un grand évènement spécial en ouverture du Festival de Jazz de Montréal. De la visite rare. Extrêmement rare. Les organisateurs du festival ont réussi une grosse prise. Ainsi, la nouvelle tournée américaine des ces allemands commence ce samedi à Montréal. Une première dans la métropole depuis au moins vingt ans. Pour l’occasion, nous dépoussiérons la genèse de la musique électronique dans ce dossier en deux parties, qui culminera par notre compte-rendu du concert offert samedi soir. Petite excursion dans les songes d’un transistor.

Après s’être attaqué à des sujets chocs tels que la maltraitance des enfants et la surconsommation de médicaments au Québec, Paul Arcand nous revient avec son troisième documentaire, Dérapages, portant sur les jeunes derrière le volant. L’animateur vedette du 98,5 FM, qui a coproduit le film en compagnie de Denise Robert, donne en effet la parole aux amis, parents et survivants d’accidents de la route causés par des jeunes âgés entre 16 et 24 ans au Québec.

Qu’on le veuille ou non, le théâtre de marionnettes a toujours gardé cette connotation quelque peu infantile. Normal, alors, d’avoir quelques appréhensions face au nouveau spectacle de Ronnie Burkett, intitulé Billie Twinkle, Requiem for a Golden Boy. Le marionnettiste fait pourtant fi des clichés et des préjugés, et offre sur les planches de la Cinquième Salle de la Place des Arts une performance plus que magistrale. Comédie musicale, théâtre, danse, humour et bien sûr marionnettes s’entrecroisent dans ce magnifique spectacle.

Lancée au début du mois, la série Stéroïdes pour comprendre vise à combler une niche spécifique dans la littérature informative québécoise. Les trois premiers tomes, rédigés par Normand Baillargeon – La Philosophie -, Valérie Levée – Les OGM- et François Watier – Le Réchauffement climatique-, offrent d’ailleurs un bon aperçu du grand potentiel de cette série s’adressant principalement à Monsieur Madame Tout le monde.

Protéger pour mieux préserver : voilà ce que recommande Michel Leboeuf dans son nouvel ouvrage, Nous n’irons plus au bois – La biodiversité québécoise en péril. Dressant un portrait alarmant de la situation de l’écosystème québécois, l’auteur vise à persuader les Québécois que, si la situation écologique du Québec est meilleure que ce qu’elle a déjà été, il ne faut pas non plus prendre cet extraordinaire héritage biologique pour acquis. La Nature est fragile par définition, et l’Homme se doit d’agir pour la préserver.