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Avengers: Endgame is not for just anybody. This movie is for the souls who watched every movie on opening night, and for those who rewatched them again before every major event. Marvel’s Avengers: Endgame is the movie event of the year. It’s a love letter to the diehard fans of the past decade, and it works. It’s the perfect ending to an anthology of wonderful stories.

Dépoussiérer un classique n’est jamais une tâche facile, surtout lorsque celui-ci est à l’origine de la notoriété de l’entreprise. C’est donc dans un désir d’insuffler sa propre ADN tout en restant toujours prêt de l’hommage inévitable que cette relecture de Alegría se perd en chemin, en dépit de ses séduisantes qualités, comme on a pu le découvrir lors de sa grande première, jeudi soir.

Il ne s’était écoulé qu’un an et des poussières depuis la parution du précédent volume des aventures de James Holden et de ses camarades de l’univers de The Expanse, mais on avait peur que ce soit la fin. Tiamat’s Wrath, huitième épisode de la série, offre à la fois une certaine satisfaction en comblant des attentes présentes depuis les débuts, mais ne le livre ne résiste pas non plus à l’envie de laisser le lecteur sur sa faim.

Le prolifique écrivain et dramaturge suédois August Strindberg avait 63 ans lorsqu’il mourut en 1912. Cet innovateur de génie, à l’origine du théâtre moderne, puisa dans son expérience de vie la plupart de ses thèmes. Grâce à la contribution de huit auteures contemporaines, la pièce intitulée Strindberg, donnée à l’Espace Go, tente de tracer le portrait de cet homme on ne peut plus tourmenté, à travers les relations qu’il eut avec ses trois épouses successives, Siri Von Essen, Frida Uhl et Harriet Bosse.

Présenté cette semaine au Théâtre La Chapelle, le spectacle Nous serons éternels s’inspire des sonnets de William Shakespeare. La création est portée par quatorze acteurs sur scène, dans une ambiance charnelle et printanière. Ce nouveau spectacle de Patrick R. Lacharité se veut une rencontre à travers les siècles, d’un créateur à l’autre, un hommage à ce que l’art a d’éternel, à la vulnérabilité des individus et à la fougue des Hommes.

Les guides de voyage se multiplient et, heureusement, ne se ressemblent pas. Les Éditions Hurtubise ont eu, il y a quelques semaines, la bonne idée de publier Grandeur nature – 1000 voyages au coeur du monde sauvage, une sorte de « liste ultime » pour les amateurs de vie sauvage dans un monde menacé par l’activité humaine.

Enfin! Après une vingtaine de films et plus d’une décennie, la saga des Avengers tel qu’on les connaît prend fin. Et si les balises de Disney destinées à assurer un succès usiné à chaque épisode ont effectivement donné lieu à des hauts et des bas, n’ayez crainte: cette finale offre tout ce qu’elle devrait livrer. Sans être extraordinaire, ni réinventer la formule, Avengers: Endgame est certainement réussi.

La semaine dernière, l’Orchestre symphonique de Montréal présentait les Rendez-vous Mozart, une programmation prestigieuse avec des invités de renommée variée, répartie sur quatre jours. Pour clore ces rendez-vous, ce vendredi, le chef invité Hervé Niquet était à la barre de l’OSM et de son chœur. Le programme était simple, mais prometteur: la Symphonie no 41 en do majeur K. 551 « Jupiter » et le Requiem en ré mineur K. 626.