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À la différence de la peinture et du cinéma, la photographie se caractérise par l’instantanéité du cliché et son support fixe. Les 100 mots de la photographie de Pierre-Jean Amar l’aborde comme on prend une photo, un mot après l’autre. Le dispositif intégré à notre téléphone intelligent a d’abord été l’invention de la modernité participant au progrès social par l’image.  

Après le magistral Indélébiles paru il y a quelques mois à peine, Luz ouvre cette fois-ci le capot de la machine à rêve hollywoodienne pour présenter une Marilyn Monroe telle qu’on ne l’a jamais vue, avec l’album Hollywood menteur.

C’est aux éditions Boréal qu’est parue, cet hiver, la toute première traduction en français d’un ouvrage de Gary Barwin, Le Yiddish à l’usage des pirates. L’auteur, né en Irlande du Nord, de parents sud-africains, vit au Canada depuis sa jeunesse. Il a été lauréat du Jewish Literary Award, finaliste aux Prix du Gouverneur général et au prix Giller.

Bien connu des cinéphiles, le cinéaste Jim Jarmusch a rarement fait le saut vers un cinéma plus grand public, avec sa vision singulière sur la banalité de la vie et l’inévitabilité de la mort. De le voir tenter de se lancer dans quelque chose de plus accessible permet de comprendre son hésitation, avec ce décevant The Dead Don’t Die, qui le lance dans plus de directions qu’il n’est capable d’en gérer.

Dans un monde où l’humanité n’existe plus, un robot au côté maternel sur-développé est chargé de récréer la race humaine dans les confins d’une station de recherche. Bienvenue dans I Am Mother, un thriller de science-fiction récemment lancé sur Netflix.

Si aujourd’hui la Chine occupe la place de seconde superpuissance, les guerres en Ukraine et en Syrie, ainsi que «l’affaire du Russiagate», évoquent toujours le rapport de force de la guerre froide. Avec le documentaire Meeting Gorbachev (2018), le cinéaste allemand Werner Herzog s’entretient avec le dernier président de l’Union des républiques socialistes soviétiques (1990-1991), Mikhaïl Gorbatchev.

Où es-tu, matière? est un solo clownesque et poétique de la compagnie Brimbalante. L’œuvre est écrite, mise en scène et interprétée par Annabelle Aubin-Thuot (la clown Babiole). La pièce prenait place à Calixa-Lavallée (Art Neuf), dans le Parc Lafontaine, les 6 et 7 juin derniers.

Poison mortel ou antidote pharmaceutique, la bivalence de ces substances débusquée au fil du temps se décortique dans l’exposition Venenum, un monde empoisonné présenté jusqu’au 8 mars 2020 au Musée de la civilisation à Québec. En parallèle, l’exposition Curiosités du monde naturel regroupe une série d’artéfacts des expéditions du 18e et 19e siècle dans l’optique du naturaliste Charles Darwin, jusqu’au 5 janvier.