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Depuis le Sommet de la Terre, tenu à Rio de Janeiro en 1992, qu’avons-nous fait pour sauver la planète? Que savons-nous? Qu’est-ce qui ralentit les visées de celles et ceux qui souhaitent garantir la possibilité d’un avenir pour leur descendance et pour l’humanité en général? Voilà plusieurs questions auxquelles répond ou tente de répondre l’ingénieur agronome Daniel Tanuro dans son livre intitulé Trop tard pour être pessimistes! Écosocialisme ou effondrement et publié chez M Éditeur.

Ce vendredi 2 octobre, en webdiffusion, l’Orchestre symphonique de Montréal offrait à ses auditeurs un bien beau programme. Sous la baguette de Susanna Mälkki, les musiciens étaient réunis à la Maison symphonique, sans public. Ce qui, bien sûr, donne lieu à des scènes un peu surréalistes, comme quand la chef, puis l’orchestre saluent le public absent à la fin de chaque œuvre. Tout ça avait un air un peu triste, mais il suffisait de fermer les yeux pour apprécier la musique, la mélodicité de chacune des œuvres.

Il y a quelque chose de dérangeant à voir Spiderman tuer des gens avec un pistolet allemand de la Deuxième Guerre mondiale; bon, bien entendu, ce n’est pas exactement cela qui survient dans The Devil All The Time, un drame coscénarisé et réalisé par Antonio Campos, et mettant en vedette Tom Holland, justement l’acteur des films Spiderman au sein de l’écurie Marvel. Néanmoins, cette impression d’étrangeté persiste.

La prestigieuse maison de disques Analekta vient de faire paraître l’album Vivaldi: Luce e Ombra qui met en vedette, pour son premier enregistrement, la soprano québécoise Myriam Leblanc. Cette dernière est entourée de l’Ensemble Mirabilia, composé de du flûtiste Grégoire Jeay, du harpiste baroque Antoine Malette-Chénier et de la violoncelliste Marie-Michel Beauparlant. Les parties musicales ont bien sûr été transcrites ou adaptées pour cette formation dont on ne trouve pas souvent l’équivalent.

Mettant en vedette un vieux cowboy se lançant dans la toute dernière aventure de sa vie, la bande dessinée Ghost Kid de Tiburce Oger est un grand western, qui n’a rien à envier aux classiques du genre.

Après s’être aventuré dans des territoires qui lui étaient moins familiers, l’éternel fanfaron romantique qu’est le cinéaste Emmanuel Mouret a décidé de retourner à ses premiers amours. La mélancolie encore plus appuyée que précédemment et le savoir-faire et le confort vont cependant lui jouer quelques tours, dans son film Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait.