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Le 9 octobre dernier, à la Salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal, avait lieu le premier concert de la 35e saison de l’ensemble de musique baroque Arion. Pour cette occasion, la direction artistique a choisi d’inviter le violoniste Enrico Onofri et la mezzo-soprano Mireille Lebel pour un programme consacré entièrement à Antonio Vivaldi. À ces deux interprètes de choix, est venue s’ajouter Claire Guimond, flûtiste et directrice artistique d’Arion.

Le mélomane s’arrêtant mardi soir à la Maison symphonique aurait pu croire que l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) avait entamé sa saison 2015-2016 avec près d’un mois de retard. Si le concert inaugural, la version concert de l’opéra Pelléas et Mélisande, avait fortement déçu, ce Violon romantique de Korngold, dirigé de main de maître par le chef Yan Pascal Tortelier, a facilement comblé le public.

Avec son nouvel album intitulé Rêves américains, tome 1 : la ruée vers l’or, Thomas Hellman nous convie à un voyage musical exceptionnel, en rendant hommage aux gens ordinaires qui ont bâti l’Amérique. Alors qu’il est en spectacle jusqu’au 3 octobre dans le cadre du Festival international de la littérature, Pieuvre.ca en a profité pour s’entretenir avec l’artiste.

Retour tant attendu, mercredi soir, du trio américain Black Rebel Motorcycle Club en sol montréalais. Après La Tulipe en avril 2010, c’était au tour du Théâtre Corona de vibrer sur ses fondations en raison des accords acides et des arrangements agressifs de ce band de la côte Ouest. Malgré un arrangement musical qui a surpris, les gars de BRMC n’ont franchement pas déçu, au contraire.

Décidément, il faut croire que le groupe rock Black Rebel Motorcycle Club tient mordicus à sa période de trois ans entre chaque parution d’album; le septième disque du trio américain, Specter At The Feast, s’apprête à atterrir dans les bacs des disquaires, après la sortie, en mars 2010, de Beat the Devil’s Tattoo. Trois ans, donc. Mais le résultat est-il satisfaisant? Sans grande révolution musicale, Specter At The Feast plaira grandement aux amateurs du genre.

Tangerine Dream, les pionniers allemands de la musique électronique et du rock progressif se produisaient hier à la salle Wilfrid Pelletier dans le cadre d’un évènement spécial au Festival International de Jazz de Montréal. Un évènement quasi-historique si l’on sait que leur dernier passage à Montréal remonte à il y a plus de 20 ans. Deuxième et dernier volet de notre dossier sur ce groupe mythique de l’histoire de la musique électronique.

La formation allemande Tangerine Dream, pionnier de la musique électronique et précurseur du rock alternatif atterri à la Salle Wilfrid Pelletier de la place des Arts pour un grand évènement spécial en ouverture du Festival de Jazz de Montréal. De la visite rare. Extrêmement rare. Les organisateurs du festival ont réussi une grosse prise. Ainsi, la nouvelle tournée américaine des ces allemands commence ce samedi à Montréal. Une première dans la métropole depuis au moins vingt ans. Pour l’occasion, nous dépoussiérons la genèse de la musique électronique dans ce dossier en deux parties, qui culminera par notre compte-rendu du concert offert samedi soir. Petite excursion dans les songes d’un transistor.

Difficile de quantifier la musique du Black Rebel Motorcycle Club. Rock, folk, atmosphérique, le groupe originaire de Sacramento s’est plus qu’agréablement renouvelé depuis son premier disque, BRMC, en 2001. De passage hier à la Tulipe, le trio a offert une excellente prestation, consacrant BRMC comme l’un des meilleurs groupes rock de la décennie.

En ce soir hivernal du 25 mars, la chaleur et le réconfort se trouvaient dans la salle de l’Astral, où le public était reçu, disons-le, dans le salon de la toujours jeune Karen Young.

Le duo versaillais AIR était de retour dans la métropole hier soir pour fouler les planches du Métropolis, mais surtout pour défendre leur nouvel album Love 2 lancé en septembre.