Browsing: Littérature

Se déroulant non pas dans un quelconque royaume médiéval fictif, mais à l’ombre de la seconde révolution industrielle dans la France des années 1900, la nouvelle série Aristophania de Xavier Dorison et Joël Parnotte injecte une saveur unique à sa fantasy.

Pour vendre des livres, il faut en faciliter l’achat: voilà ce qui ressort de la plus récente édition du rapport The Canadien Book Buyer, publié la semaine dernière par l’organisation Booknet Canada.

Il y a quelque chose d’étrange dans le roman Rouge est la nuit, premier opus d’une série policière écrite par Tetsuya Honda. Étrange, en effet, parce que ce thriller paru à l’Atelier akatombo offre quelques bases du roman policier occidental, certes, mais aussi parce qu’on y ajoute non seulement quelques aspects uniques à la culture japonaise, mais aussi parce que l’oeuvre surprend en dévoilant un récit bien plus horrible qu’on aurait pu l’imaginer.

À la différence de la peinture et du cinéma, la photographie se caractérise par l’instantanéité du cliché et son support fixe. Les 100 mots de la photographie de Pierre-Jean Amar l’aborde comme on prend une photo, un mot après l’autre. Le dispositif intégré à notre téléphone intelligent a d’abord été l’invention de la modernité participant au progrès social par l’image.  

Après le magistral Indélébiles paru il y a quelques mois à peine, Luz ouvre cette fois-ci le capot de la machine à rêve hollywoodienne pour présenter une Marilyn Monroe telle qu’on ne l’a jamais vue, avec l’album Hollywood menteur.

C’est aux éditions Boréal qu’est parue, cet hiver, la toute première traduction en français d’un ouvrage de Gary Barwin, Le Yiddish à l’usage des pirates. L’auteur, né en Irlande du Nord, de parents sud-africains, vit au Canada depuis sa jeunesse. Il a été lauréat du Jewish Literary Award, finaliste aux Prix du Gouverneur général et au prix Giller.

Les bibliothèques d’ici et chez nos voisins du Sud ne sont pas en concurrence directe avec les librairies, mais servent plutôt à encourager l’achat de romans, essais et autres bouquins, révèle un récent sondage effectué par l’organisation BookNet Canada, et dont les conclusions ont été rendues publiques la semaine dernière.

La réputation du journaliste Jake Adelstein n’est plus à faire. Après le fantastique Tokyo Vice, qui levait le voile sur l’étrange univers du journalisme au Japon, et Le Dernier des yakuzas, sur la célèbre mafia nippone, voilà que le reporter, auteur et maintenant prêtre zen (!) revient sur l’histoire Mt. Gox et la ruée vers les bitcoins, dans J’ai vendu mon âme en bitcoins, paru aux éditions Marchialy.