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Il y a huit ans déjà, surfant sur le succès inestimable de la télésérie Lost qui a changé le visage de la télévision, le grand manitou qu’est J.J. Abrams a produit un mystérieux film qui non seulement a su redonner ses lettres de noblesse au found footage movie, avant que le genre ne dérape, mais a également su donner une carrière à des inconnus au grand talent. Nul doute que ce très efficace nouvel opus provenant des mêmes bases saura en faire autant.

La fort bien huilée machine Netflix tournait à plein régime, vers la fin de la semaine dernière, alors qu’approchait la date de sortie de la tant attendue quatrième saison de la télésérie House of Cards.

Quand rien ne fonctionne, on ne sait jamais vraiment qui blâmer. Et si Whiskey Tango Foxtrot porte d’une certaine façon bien son nom (il s’agit ici d’initiales qui nous ramènent à What The Fuck), contrairement à ses propres croyances, il est certainement vraiment moins divertissant qu’il ne pense le prétendre, sinon pas du tout, laissant son spectateur reposer dans un bain de fusillades, d’explosions, de vulgarités et, surtout, d’ennui.

Succès surprise pour des tas de raisons, Olympus Has Fallen a fait exploser le box-office il y a trois ans. Pourtant, même s’il était réalisé par Antoine Fuqua et que sa distribution était plus que prestigieuse, l’exercice ne volait pas nécessairement bien haut ce qui explique difficilement pourquoi on a voulu y faire une suite. Dieu merci, celle-ci réussit le pari risqué d’être encore terriblement plus pire que son prédécesseur, et ça, franchement, ce n’était pas donné.

Dès le 10 mars prochain, le Festival international du Film sur l’Art (FIFA) nous propose une 34e édition qui offre un large éventail de productions québécoises, notamment plusieurs longs-métrages présentés en première mondiale. Encore cette année, l’équipe du FIFA nous présente une programmation riche où se côtoient toutes les époques et tous les styles d’oeuvres.

S’il se la joue feel-good movie et biopic sportif dans les règles de l’art, un peu trop même par moment, Eddie the Eagle est un crowd-pleaser fortement fonctionnel qui s’assure de réchauffer les cœurs et de faire grossir le sourire au visage de ses spectateurs en se permettant de modifier ne serait qu’un tantinet les morales qu’on aime habituellement apposer aux histoires de ce genre.

Déjà reconnu comme étant le film sur l’Égypte qui ne met en scène aucun Égyptien, en plus d’avoir été tourné en Australie, Gods of Egypt pourrait certainement être la comédie la plus involontaire et la plus coûteuse de l’année, mais le résultat est si pitoyable qu’il se contente d’être une aberration.