Sans être un grand amateur de drames sportifs, j’ai beaucoup apprécié les deux premiers Creed, principalement en raison de leurs nombreuses références à l’univers cinématographique de Rocky, mais en se coupant complètement de cet héritage, ce nouveau chapitre s’avère beaucoup moins bon, et un peu décevant.
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Les pas d’allure raconte un monde imaginaire où la radio poubelle vise à déstabiliser l’ordre social pour faire progresser ses idées rétrogrades. Fiction, vous dites?
Si vous ressentez une certaine fatigue à l’égard des films de superhéros, Shazam! Fury of the Gods ne risque peut-être pas de vous faire changer d’idée, mais les amateurs du personnage et du premier volet auront beaucoup de plaisir à visionner cette suite, divertissante à souhait.
Enfin… que valent toutes les critiques du monde? Les journalistes spécialisés n’ont pas spécialement aimé, mais le film a fait 12 fois son budget au box-office. À quoi bon s’acharner, dans ce cas?
Ennuyeux, mal ficelé et redondant, Kandahar semble s’approprier la question afghane sans même chercher à s’y intéresser sur le plan humain ou philosophique. Un film d’action comme il s’en est déjà fait des centaines, à oublier dans les poubelles de l’histoire.
Ben Affleck renfile ses habits de réalisateur et propose Air, un drame biographique sportif racontant l’histoire de la création de la célèbre ligne de souliers de basketball Air Jordan, chez Nike.
Ce qu’il est possible d’établir, c’est que pour son premier long-métrage, Vasilis Katsoupis s’est non seulement offert un excellent acteur, mais aussi un film profond qui offre une autre perspective sur notre existence.
« Honnêtement, je m’attendais à un insipide navet avec Cocaine Bear, mais le long-métrage a largement dépassé mes attentes grâce à son scénario abracadabrant (mais vrai!), et surtout son sens de l’humour, aussi grinçant qu’efficace. Ce n’est peut-être pas un chef-d’œuvre du septième art, mais c’est quand même très divertissant. »
Ce The Little Mermaid est relativement dans la même veine que les autres relectures en prises de vue réelles, mais du côté des titres plus réussis, parce qu’on s’y plaît à plus d’un moment, majoritairement en raison de l’enthousiasme généré par l’ensemble.
Si le film contient quelques bons moments, Dark Nature est donc grevé par son scénario trop conventionnel et son budget qui n’est pas à la hauteur de ses ambitions. La réalisatrice a certainement tenté de tirer le meilleur des ressources disponibles, mais le résultat final laisse le cinéphile sur sa faim.