Le récit est dit très simplement, hésitant souvent, toujours de façons sensible.
Auteur/autrice : Sophie Jama
Il y a beaucoup de poésie dans la manière dont l’artiste, dans sa danse très physique, s’associe avec ce qu’il utilise en guise de marionnettes.
C’est à la saga de ces deux artistes de l’entre-deux guerres que la compagnie Great Small Works s’attaque avec brio dans le spectacle intitulé Muntergang and Other Cheerfull Downfalls.
C’est le défi que s’est donné l’auteur: jouer avec le langage et avec l’échange en général, mais ne jamais permettre au spectateur d’accéder à sa signification ou alors seulement par bribes, et encore.
En littérature ou en musique, une rhapsodie est une œuvre composée de différents morceaux, juxtaposés, décousus, presque désordonnés, mais qui – bien sûr – forment un tout. C’est ce que signe Sylvain Émard pour sa compagnie : 20 danseurs sur une scène relativement réduite, autant dire une foule, et qui pendant plus d’une heure réalise une performance époustouflante de désordre apparent.
Du côté du Théâtre Aux Écuries, on présente une conférence. Mais sur quoi? Et avec qui? Dans quel but? C’est là tout le mystère…
Andrew Turner propose 18 façons de se mouvoir, d’être, d’exister.
Ballet BC propose un trio d’oeuvres qui représentent ce qui se fait de mieux en danse contemporaine.
eule sur scène ou presque, Angélique Willkie se met à nu pour nous livrer la confession de son existence, un récit biographique où elle étale tout, dans une sincérité totale, mais avec une grande économie de mots; des gestes plutôt, une danse musicale et chantée où c’est le corps et sa rage qui s’expriment, ou sa douceur et sa résignation.
Ce ballet presque hypnotisant par sa musique et ses déplacements fait songer à une sorte de big bang situé ailleurs, sur une autre galaxie très éloignée de la terre