Si on ne lit pas la quatrième de couverture du roman Les fils de la poussière, d’Arnaldur Indridason, il est difficile de deviner qu’il s’agit en fait du tout premier roman de l’auteur, paru en 1997.
Auteur/autrice : Martin Prévost
Passagers, c’est le titre du spectacle des 7 doigts de la main qui est présenté à La Tohu, depuis le 14 novembre et jusqu’au 5 janvier prochain. S’il s’agit bien là d’un spectacle de cirque, où sont représentées pas moins de dix disciplines de l’art circassien, il s’agit aussi de danse, de théâtre, et de chant.
Chez Seuil vient de paraître la première traduction française du tout premier roman du regretté Henning Mankell. D’abord publié en 1973, sous le titre Bergsprängaren, Le dynamiteur annonçait, sans tambour ni trompette, la carrière prolifique de celui qui s’est beaucoup fait connaître par les enquêtes du commissaire Wallander.
Tout ce qu’il y a de plus tordu, vous pouvez tenter de l’imaginer. Mais l’auteur britannique Benjamin Myers, lui, l’a carrément écrit dans son plus récent ouvrage traduit en France, Dégradation, paru tout récemment dans la collection Cadre noir, chez Seuil.
Andrée-Paule Mignot publiait, il y a quelques jours, son deuxième roman et son premier pour adultes ou peut-être davantage pour adolescentes. Sorti chez Hurtubise, il s’intitule Six femmes du monde.
En réédition chez Druide, après une première édition chez Leméac en 2002, paraissait récemment Jours de sable, un récit d’Hélène Dorion. Récipiendaire du Prix Anne-Hébert, cette narration personnelle et poétique nous fait remonter dans le temps avec l’auteure. Un retour en arrière qui nous ramène jusqu’à la découverte des mots par une enfant à la recherche de sens, en quête de connaissance.
C’est à nouveau aux Éditions La mèche qu’on peut découvrir le nouvel ouvrage de Jean-Michel Fortier. Quatre ans après Le chasseur inconnu, voici Les bains électriques.
Le 21 septembre dernier, la maison de disques Analekta a publié son numéro AN 2 8794, le premier album de l’intégrale des sonates pour violon et piano de Ludwig van Beethoven, enregistrée par Andrew Wan, violon solo de l’Orchestre symphonique de Montréal, et Charles Richard-Hamelin, piano. Dans ce premier album, on retrouve les trois sonates de l’Opus 30: la Sixième, la Septième et la Huitième.
Les Éditions Druide ont fait paraître récemment un autre titre de l’auteure Hélène Dorion intitulé L’étreinte des vents, récipiendaire du prix de la revue Études françaises. Dans ce récit, on assiste à l’exploration des sentiments humains dans une longue métaphore avec la nature.
C’est Rigoletto, un des opéras « populaires » de Giuseppe Verdi qui ouvrait, samedi soir, la 39e saison de l’Opéra de Montréal, à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Les autres représentations auront lieu les 18, 20 et 22 septembre.