Samedi soir dernier, l’orchestre symphonique de Montréal présentait un programme intitulé Alain Lefèvre et le concerto de Tchaïkovski. Le chef invité était Nicolaj Szeps-Znaider, aussi célèbre pour ses prestations à la barre des grands orchestres que pour ses enregistrements, à titre de soliste, de nombreux concertos pour violon.
Auteur/autrice : Martin Prévost
Sótt, le plus récent ouvrage du romancier islandais Ragnar Jonasson, paru aux Éditions de la Martinière, se déroule dans le nord profond de son pays d’origine, un lieu où pas grand-chose ne se passe, un endroit où les aurores boréales sont un phénomène habituel et où l’isolement ne peut manquer d’influer sur le comportement des gens.
Rare réflexion en français sur la littérature autochtone, Nous sommes des histoires, paraissait cet automne chez Mémoire d’encrier. Traduits de l’anglais (américain et canadien) par Jean-Pierre Pelletier, les quinze textes qui constituent cet ouvrage ont été recueillis et retenus par Marie-Hélène Jeannotte, Jonathan Lamy et Isabelle St-Amand.
Si on ne lit pas la quatrième de couverture du roman Les fils de la poussière, d’Arnaldur Indridason, il est difficile de deviner qu’il s’agit en fait du tout premier roman de l’auteur, paru en 1997.
Passagers, c’est le titre du spectacle des 7 doigts de la main qui est présenté à La Tohu, depuis le 14 novembre et jusqu’au 5 janvier prochain. S’il s’agit bien là d’un spectacle de cirque, où sont représentées pas moins de dix disciplines de l’art circassien, il s’agit aussi de danse, de théâtre, et de chant.
Chez Seuil vient de paraître la première traduction française du tout premier roman du regretté Henning Mankell. D’abord publié en 1973, sous le titre Bergsprängaren, Le dynamiteur annonçait, sans tambour ni trompette, la carrière prolifique de celui qui s’est beaucoup fait connaître par les enquêtes du commissaire Wallander.
Tout ce qu’il y a de plus tordu, vous pouvez tenter de l’imaginer. Mais l’auteur britannique Benjamin Myers, lui, l’a carrément écrit dans son plus récent ouvrage traduit en France, Dégradation, paru tout récemment dans la collection Cadre noir, chez Seuil.
Andrée-Paule Mignot publiait, il y a quelques jours, son deuxième roman et son premier pour adultes ou peut-être davantage pour adolescentes. Sorti chez Hurtubise, il s’intitule Six femmes du monde.
En réédition chez Druide, après une première édition chez Leméac en 2002, paraissait récemment Jours de sable, un récit d’Hélène Dorion. Récipiendaire du Prix Anne-Hébert, cette narration personnelle et poétique nous fait remonter dans le temps avec l’auteure. Un retour en arrière qui nous ramène jusqu’à la découverte des mots par une enfant à la recherche de sens, en quête de connaissance.
C’est à nouveau aux Éditions La mèche qu’on peut découvrir le nouvel ouvrage de Jean-Michel Fortier. Quatre ans après Le chasseur inconnu, voici Les bains électriques.