Oeuvre pour six danseurs et trois musiciens, Until our hearts stop,de Meg Stuart et présenté au Festival TransAmériques, est un spectacle dense et profond qui nous fait entrer dans un espace de liberté totale du corps.
Auteur/autrice : Mathilde Perallat
Dramaturge de Pina Bausch, Raimund Hogue a longtemps été sur scène sans être sur scène. Depuis quelque temps, il monte sur les planches avec son corps atypique et bossu, dans des pièces mises en scène par lui même et d’un minimalisme absolu. Il est à l’Usine C deux jours avec Pas de deux, et joue Valse les deux jours suivants.
Yoann Bourgeois, metteur en scène français influencé par le cirque autant que par la danse est invité pour la première fois dans l’antre circassienne Montréalaise. Bien loin de ce qui est habituellement présenté à la Tohu, Celui qui tombe est un spectacle pour le moins… contemporain.
Présenté au OFFTA en 2016 et bien reçu par le public, Pixèle-moi revient retravaillé, et la crue 2018 est savoureuse. Samedi, l’oeuvre faisait partie de la programmation du festival de Casteliers.
À La Chapelle, Andréane Leclerc et Dany Desjardins présentent leur seconde création ensemble, dans une esthétique baroque.
Amok, le journal d’un fou d’amour, pièce française qui a fêté sa 300e représentation à Montréal, était à la Cinquième salle pour quatre représentations.
La dernière invention des bureaux de l’APA, joué au FTA en juin 2017 est en reprise à l’Espace Libre. Compagnie connue pour présenter des pièces hors normes faisant voler en éclat les codes traditionnels du théâtre, elle revient aujourd’hui avec un objet atypique dont on sort assez enjoué, mais pas entièrement transcendé, pas certain(e) d’avoir réussi à faire toutes les connexions.
La Tohu accueille Nord Nord Est, une compagnie pluridisciplinaire qui créé un cirque différent de celui qu’on a l’habitude de voir. Un cirque au service de l’image plutôt qu’à la surenchère de l’exploit physique.
Dans la petite salle du théâtre Propero, en sous-sol, se jouent le mots de Lars Noren, dramaturge suédois connu pour ses textes acerbes sur la cruauté du monde.
La nouvelle création d’Angela Konrad à l’Usine C nous confronte à la culture du narcissisme actuelle, entre la quête d’un bonheur toujours plus grand et d’une toujours plus grande frustration.