Le rédacteur en chef Rémi Leroux présente cette nouvelle initiative médiatique qui vise à parler de climat… sans parler de climat.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
Interceptés est un bon, voire un très bon documentaire. Un film qui en dit, qui en montre juste assez pour que l’on comprenne ce qui s’est passé, au cours des premiers mois de la guerre, et ce qui se passe probablement encore, sur le terrain. Une oeuvre terrifiante de part son côté ordinaire… et donc une oeuvre tout à fait nécessaire.
Une chose est certaine: ce n’est pas parce que les canons se sont tus que la situation est revenue à la normale. Près de deux millions de personnes, toujours prisonnières de la bande de Gaza, ont presque tout perdu. Et la reconstruction, si elle a lieu, prendra des années.
L’adoption de nouvelles normes, effectuée sous le président Joe Biden, a poussé les constructeurs à déjà repenser leurs véhicules. Et tout ce travail ne s’annule pas en criant ciseau.
Intrigante, étonnante, orginale, qui viendra même désarçonner les spectateurs à plus d’une reprise, Une vie de femme est une oeuvre tout à fait pertinente en cette époque de réalités multiples imputables au télescopage du numérique et du physique. Il ne lui manque, peut-être, que ce point focal, ce centre autour duquel trouver refuge. Peut-être a-t-il disparu, lui aussi. Comme Marie.
Efficace, rigolo, et surtout capable d’une introspection qui fait franchement du bien, Viqueens: saga nordique est une oeuvre combinant fort efficacement l’humour et les réflexions sociales. Le genre de pièce qui fait franchement du bien, dans les circonstances actuelles.
« Compte tenu du volume d’aide qui entre maintenant dans Gaza, on voit clairement à quel point Israël a entravé l’action humanitaire au cours des 15 derniers mois. »
Le film coscénarisé et réalisé par Matthew Rankin semble défier toute classification.
Marcin Paczynski, Senior Business Development Manager at GOG, talks about a gigantic endeavour and the obstacles that stand in the way of future-proofing the videogame industry.
Si Gravelord n’est certainement pas dénué de bonnes intentions, il existe plusieurs choses à corriger si l’on veut espérer prétendre jouer dans la cour des grands. Trop difficile pour offrir ce sentiment de puissance démultipliée associé au genre, avec une musique quasi absente… le titre a besoin d’un retour sur la planche à dessin.