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    Accueil»Technologie»L’offensive de Kensington pour travailler sans se faire mal
    Kensington offre plusieurs produits ergonomiques pour le bureau ou la maison.

    L’offensive de Kensington pour travailler sans se faire mal

    0
    Par Hugo Prévost le 23 octobre 2022 Technologie

    Les entreprises – et les particuliers – consacrent beaucoup d’argent à ce qui se trouve dans les machines trônant sur nos bureaux. Mais l’entreprise Kensington, spécialisée dans les périphériques, propose plutôt une gamme de produits visant à faciliter l’acte de travailler en soi, notamment en étant plus confortable à cet endroit où l’on passe tant d’heures par jour.

    Lors d’une présentation virtuelle, une représentante de l’entreprise, spécialisée en ergonomie, a ainsi mis de l’avant une sélection d’objets permettant, soutient Kensington, de non seulement réduire les risques de blessures, mais aussi, dans certains cas, d’améliorer la productivité.

    Le premier de ces objets est la souris sans fil verticale : l’idée est simple, mais la position « normale » pour l’utilisation d’une souris, consiste à placer son avant-bras à plat sur la surface de notre bureau, ce qui contrevient à la position naturelle des mains, qui pendent le long de notre corps lorsque nous sommes debout, avec les paumes vers soi.

    Le concept est le même, ici : la main est alors dans sa position « normale », ce qui réduirait les risques de blessure, notamment les cas de tunnel carpien ou de douleurs au bout de l’avant-bras, tout juste sous le poigner.

    Kensington n’en est évidemment pas à sa première souris, et diverses options peuvent évidemment convenir à différentes personnes. L’idée, en général, consiste à éviter de déposer son avant-bras à plat sur notre bureau, et de l’y frotter constamment. Sans surprise, Kensington propose aussi des appuie-bras, que ce soit pour la souris ou le clavier.

    Parlant de clavier, justement, les formats de clavier standards ont eu aussi tendance à forcer un positionnement non naturel des mains. Et si Kensington vend effectivement des claviers « normaux », il est aussi possible de se procurer un clavier ergonomique, où les touches sont séparées en deux sections légèrement surélevées pour respecter, encore une fois, l’orientation relativement naturelle des mains.

    Et de l’avis de la représentante de Kensington, s’il faut effectivement un temps pour s’habituer, une fois ce délai passé, la frappe sera jusqu’à 12 % plus efficace qu’avec un clavier standard.

    L’entreprise vend aussi sa souris verticale et son clavier ergonomique en combo.

    Prendre, ou plutôt épargner ses pieds

    Parmi les produits aussi intrigants qu’intéressants, on retrouve le repose-pieds à bascule; si le repose-pieds « traditionnel » de Kensington est assez connu, du moins dans un environnement de bureau, il occupe aussi beaucoup d’espace.

    L’option à bascule, elle, est particulièrement mince et design : deux pieds munis de patins antidérapants sont reliés par une barre de métal solide qui pivotera en partie sur son socle. On peut donc y poser les pieds sans problème, mais aussi transporter tout ce matériel sans que la chose prenne des allures d’expédition.

    Toujours dans le but de faciliter le transport de son matériel informatique, dans une perspective de télétravail ou encore de travail dans un café, par exemple, Kensington propose deux sacs à dos, dont le modèle Contour, avec une armature plus prononcée. Ces deux sacs peuvent transporter des ordinateurs portatifs dont l’écran atteint 15,6 pouces de diagonale, maximum.

     

    Et pour ceux qui souhaiteraient effectuer des vidéoconférences, par exemple, ou qui doivent jongler avec plusieurs entrées et sorties audio, l’entreprise offre un commutateur universel permettant de combiner trois signaux audio pour une sortie, entre autres avec des connexions Bluetooth.

    En terminant, il y a aussi les bras télescopiques qui peuvent servir pour accrocher un ou des écrans, ou encore une caméra vidéo et une lumière en anneau.

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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

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