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    Accueil»Technologie»Jeux vidéo»DayZ: la survie, et rien d’autre
    L’affiche du jeu

    DayZ: la survie, et rien d’autre

    2
    Par Patrick Robert le 26 juin 2019 Jeux vidéo

    On a l’impression qu’il est disponible en accès anticipé sur PC depuis une éternité (2012, pour être précis), et après toutes ces années, c’est enfin au tour des propriétaires de consoles de pouvoir découvrir le monde ouvert – et peuplé de zombies – de DayZ.

    Tuer du zombie n’est certainement pas une activité nouvelle dans le monde du jeu vidéo, mais contrairement à bien des titres du genre, où l’on participe à un véritable génocide de morts-vivants à l’aide d’engins de destruction tous plus inventifs les uns que les autres, DayZ emprunte une approche beaucoup plus réaliste, en axant son expérience sur la survie plutôt que le rentre-dedans. On y incarne un naufragé anonyme, échoué sur les rives de la République soviétique fictive de Chernarus, où un mystérieux virus a transformé la majeure partie de la population en dangereux morts-vivants, et sans plus de préambule narratif ou de fla-flas, on est projeté au sein de cette fin du monde avec un seul et unique but: rester vivant.

    Expérience de type bac à sable, DayZ immerge le joueur dans un environnement particulièrement hostile, où il faut fouiller les voitures abandonnées et les maisons désertes de fond en comble pour trouver le nécessaire à sa survie, ce qui ne se limite pas à des armes et autres objets contondants, puisqu’au-delà d’une simple barre affichant nos points de vie, les mécaniques du jeu incluent aussi une quantité de facteurs à surveiller pour son bien-être, dont l’hydratation, la faim, et même la température de son corps. Dès qu’on a déniché une bouteille de plastique ou une gourde par exemple, il faudra prendre soin de la remplir chaque fois qu’on trouve une source d’eau, tout en s’assurant qu’elle n’est ni rance ou contaminée.

    Image tirée du jeu

    En plus de personnaliser l’apparence de notre avatar et de le garder bien au chaud dans le climat nordique de Chernarus, les vêtements qu’on trouve ici et là (pantalons, parkas, sac à dos, etc.) possèdent également leur propre inventaire, augmentant ainsi notre capacité de stockage. Une foule d’objets sont cachés dans ce vaste monde ouvert (médicaments, lampes de poche, piles, nourriture, armes, etc.), et un système permet même de combiner différents matériaux de base pour fabriquer des outils plus évolués, mais chaque fois qu’on meurt, on est « réincarné » dans un nouveau survivant, perdant tout l’équipement durement acquis en même temps, ce qui élève substantiellement la tension, et les enjeux.

    Si la carte de DayZ est vaste avec ses 225 kilomètres carrés de superficie, traverser la contrée déserte de Chernarus s’avère une expérience solitaire, et on peut passer des heures sans même rencontrer un seul zombie, surtout dans les régions rurales. Les parties prennent place sur des serveurs multijoueurs pouvant accueillir jusqu’à soixante personnes simultanément, et si on peut s’associer aux autres, il est aussi possible de les attaquer, de les détrousser, et même de les tuer. La nature humaine étant ce qu’elle est, les joueurs en chair et en os s’avèrent une menace bien plus terrible que n’importe quel zombie, et la seule fois où j’ai croisé un autre survivant, ce dernier a pris ses jambes à son cou, malgré mes tentatives répétées pour lui faire part de mes intentions amicales.

    Image tirée du jeu

    Malheureusement, et c’est là son plus grand défaut, DayZ s’inscrit dans la nouvelle mode de ces jeux de type bac à sable qui n’offrent absolument aucune histoire (No Man’s Sky, PUBG, Generation Zero, etc.), comme si les scénaristes demandaient un salaire si élevé que les développeurs indépendants ne pouvaient s’en payer un, et à part survivre, le titre ne contient ni NPC, ni quêtes, ni récit sous aucune forme. Sans missions, sans progression de son personnage ou de ses armes, et avec un matériel que l’on perd et que l’on doit reconstituer de zéro à chaque décès, les motivations pour continuer à jouer sont minces, et seuls les adeptes de la survie pure et dure trouveront leur compte avec cette expérience un peu dénuée.

    En dépit d’un concept intéressant et de mécaniques plutôt bien exécutées, la version consoles de DayZ aurait certainement bénéficié d’encore un peu de temps de développement (et d’un scénario), histoire de mettre un peu de viande autour de son os.

    6/10

    DayZ

    Développeur / Éditeur: Bohemia Interactive

    Plateformes: PS4, Windows, Xbox One (testé sur Xbox One)


    A Plague Tale: Innocence, l’amour au temps des rats

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    Patrick Robert
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    Cinéma, musique, jeux vidéo ou bandes-dessinées, Patrick partage sa passion pour la culture populaire depuis plusieurs années à travers les critiques, les entrevues, ou les textes d’actualité qu’il signe pour de nombreux médias, parmi lesquels le blogue de Ztélé, La Vitrine, Le Coin du DVD, et évidemment, Pieuvre.ca.

    2 commentaires

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