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Pris à son propre piège ? Depuis son arrivée à la tête de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA), le climatosceptique Scott Pruitt se présente comme un défenseur de la « transparence » en science, lorsqu’il affirme que les changements climatiques ne sont pas causés par l’activité humaine. Or, voilà qu’un juge vient de lui demander de publier ses sources.

Les présidents et premiers ministres des États-Unis, de la France, du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de l’Italie, du Japon et autres invités en périphérie seront accueillis au Sommet du G7 les 8 et 9 juin à La Malbaie dans la région de Charlevoix au Québec par le pays hôte de l’événement : le Canada. Les manifestants seront-ils nombreux?

Le « test de Montréal » qu’a récemment réussi Donald Trump peut rassurer certaines personnes, mais il ne répond pas aux questions de ses principaux critiques: c’est un test destiné uniquement à détecter les premiers signes de maladies comme l’Alzheimer, et non à évaluer la santé mentale d’une personne.

Bien que la loi Macron portait son nom, et que le magnat de l’immobilier figurait dans le vedettariat, les présidents Emmanuel Macron et Donald Trump étaient considérés comme de « nouveaux candidats » lors de leur campagne électorale respective. Si certains médias ont favorisé M. Macron d’après le Monde diplomatique de mai, l’équipe Trump a instrumentalisé le média social Facebook, lit-on dans le New York Review of Books du 8 juin.

Ce qui devait arriver arriva: le nouveau président américain, fort de son cortège de bénis oui-oui, a décidé de « punir » son homologue syrien Bachar al-Assad pour l’attaque au gaz menée contre des civils, plus tôt cette semaine, et a bombardé l’aéroport militaire syrien d’où aurait été lancé l’ignoble assaut.

L’ère Trump offre l’opportunité d’un cours accéléré en psychologie de la désinformation. Entre les biais de confirmation et les Facebookiens qui partagent un texte sans l’avoir lu, journalistes et communicateurs tentent de s’ajuster.

Une salle de conférence anonyme et grise. Beaucoup de têtes blanches, mais aussi beaucoup de jeunes, pour la plupart des hommes. Au milieu des gobelets à café vides, quelques drapeaux confédérés, des dépliants.

Alors que des compagnies de haute technologie exprimaient leur opposition au décret anti-réfugiés et anti-immigration signé par Trump vendredi soir, des universités faisaient part de leur désarroi, et l’une d’elles annonçait qu’elle refuserait de répondre à toute requête qui concernerait le statut de ses étudiants.