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Samedi soir, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, avait lieu la première de Roméo et Juliette, dans la version de Charles-François Gounod, créée en 1867, au Théâtre lyrique à Paris. Les autres représentations auront lieu les 22, 24 et 26 mai.

L’OSM présentait mercredi soir un concert dédié exclusivement à la musique de films de science-fiction, reprenant notamment au programme des grands classiques comme 2001 l’odyssée de l’espace, Star Wars ou encore Retour vers le futur. Sans tomber dans la facilité dans le choix d’un tel programme, l’orchestre livra une prestation appréciée des jeunes et moins jeunes spectateurs, mais l’interprétation de l’orchestre semblait, hélas, parfois peu inspirée.

Ce n’est pas la première fois que l’orchestre baroque Arion se permet une incursion dans un répertoire qui est postérieur à l’époque baroque. Pour le dernier programme de sa série montréalaise 2017-2018, Arion s’est permis de piger dans le répertoire de W.A. Mozart et dans celui de Joseph Haydn.

Lamelles, une oeuvre présentée à l’Usine C, est sensible, sensuelle, beaucoup plus que ce que la réflexion du metteur en scène sur sa création ne pourrait d’abord le laisser croire. Car, si ce sont des écrits théoriques et le désir de confronter le corps des performeurs à un dispositif potentiellement restreignant qui forment la genèse du projet, le résultat est tel qu’on est entièrement et physiquement absorbés par le mince espace de vie dont les possibles se déploient sous nos yeux.

Nul doute possible quant à l’engouement suscité par ce conte de fées indémodable: c’était une salle Wilfrid-Pelletier derechef comble qui accueillit sur scène le Ballet national d’Ukraine en clôture de la saison 2017-2018, la même troupe qui avait subjugué le public montréalais avec son Mariage de Figaro le printemps dernier.

L’heure était à la promenade dans les rues chargées d’histoire de Prague, jeudi dernier à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait un programme réunissant Mozart et Dvorak autour de morceaux évoquant la capitale de la République tchèque.

L’auteure-compositrice-interprète Helena Deland se produisait vendredi soir dernier sur les planches de la Sala Rossa de Montréal. Avec la chanteuse accompagnée de ses trois musiciens, ce concert permit au public montréalais de renouer avec l’enfant chérie de l’indie-folk québécois et d’apprécier sa mystérieuse personnalité le temps d’un concert fort agréable.

C’est une oeuvre dichotomique pour le moins audacieuse qu’aura offert le Eifman Ballet de Saint-Pétersbourg, mercredi soir à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place-des-Arts, devant un auditoire conquis d’avance.