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C’est avec une création audacieuse d’Olivier Arteau que le théâtre Denise-Pelletier ouvre sa saison 2017-2018. Dans une langue crue, violente et cynique, le Théâtre Kata nous présente Doggy dans gravel, pièce qui ne peut laisser personne indifférent. Olivier Arteau nous dresse le portrait plus grand que nature d’une génération internet désirant passer (trop vite?) vers l’âge adulte. Le tout enrobé d’une toile de fond digne d’un vidéoclip de notre popstar américaine préférée diffusé sur MusiquePlus.

Le corps imparfait de l’actrice Lena Dunham, la masculinité québécoise ou encore l’intensité des fans d’une populaire émission des années 1990: les séries sont le centre d’intérêt de plusieurs chercheurs en sciences sociales, en particulier pour ce qu’elles reflètent de la société, pour leur représentation des genres et pour le type de messages qu’elles envoient.

« D’après mes recherches, si une fille vous enlace, vous embrasse et tient vos mains en même temps, elle veut être votre petite amie. Alors, vaut mieux que vous ayez une réponse toute prête. » Si ce passage vous semble étrange, c’est que vous n’êtes pas vous-même autiste.

Disons-le d’emblée, la très grande majorité des aphrodisiaques sont au mieux inefficaces, au pire carrément dangereux pour la santé. Ce qui n’empêche pas les hommes et les femmes de se tourner vers différents produits disponibles sur internet lorsqu’ils font face à une panne de désir…

Une rupture amoureuse fait mal, plus souvent qu’autrement. Surtout quand les enfants du couple doivent apprendre à vivre en fonction de la nouvelle réalité où papa et maman font chambre, ou encore appartement à part.

Un jouet sexuel peut-il devenir un gadget trop perfectionné? À l’opposé du Tor 2, par exemple, un « engin » particulièrement simple – un vibrateur, ni plus, ni moins -, la compagnie Lelo donne aussi dans les appareils plus complexes, notamment les Hula Beads. Au risque de gâcher l’instantanéité des moments intimes.

Des chercheurs viennent de lever un coin du voile sur un pan mystérieux de la sexualité humaine, tout en ravivant de nombreuses frustrations, car ils avancent que l’orgasme féminin ne serait qu’un reliquat de notre évolution. Leurs travaux, publiés dans le Journal of Experimental Zoology, tentent de retrouver l’origine de la source de plaisir sexuel féminin, peu lié au succès reproductif, contrairement à l’orgasme masculin indispensable à l’éjaculation et le transfert de sperme d’un partenaire à l’autre.