Autrement dit, un chercheur qui est « né » anglophone part avec des longueurs d’avance sur un « non-anglophone », et rencontrera moins d’obstacles sur sa route.
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Il faudra tôt ou tard découvrir de quoi est composée cette fameuse matière sombre, qu’on n’a été capable jusqu’ici que de mesurer indirectement, à travers son influence gravitationnelle.
L’autre bémol est qu’on ignore encore jusqu’où cette technologie permettra vraiment d’aller. On en a donc pour quelques années encore à continuer de défricher ce nouveau territoire avant de pouvoir vraiment en mesurer les limites.
Qu’un animal domestiqué observe « ses » humains n’étonnera plus les cultivateurs, et les lamas sont domestiqués en Amérique du sud depuis des milliers d’années.
Il faut se rappeler que si des os et des dents peuvent survivre pendant des centaines de millions d’années, il n’en est pas de même de la partie de leur contenu qui intéresse les biologistes: les gènes.
Autrement dit, cette approche consistant à découvrir ce qui se cache à l’intérieur de chaque constituant du cosmos —à la manière des poupées russes— a bien servi les physiciens, mais une nouvelle approche est manifestement nécessaire pour aller plus loin.
Il y a déjà des années que le comportement plus « pacifique » des bonobos, les plus proches cousins des chimpanzés et de nous-même, suscite l’étonnement.
Sans cette pause d’un milliard d’années dans la rotation de notre planète, notre journée actuelle, plutôt que de durer 24 heures (environ), s’étendrait plutôt sur plus de 60 heures.
L’idée que ces capteurs-là y soient à ce point sensibles, pourrait apporter un nouvel éclairage à ce qui se passe dans l’intimité.
Les ondes gravitationnelles pourraient peut-être, par exemple, devenir un outil pour « voir » la matière sombre et l’énergie sombre, de la même façon que, ces dernières années, elles sont devenues un outil pour « voir » les trous noirs.