Browsing: science

Les fourmis peuvent donc faire la différence entre les deux blessures et adapter leur comportement en conséquence. Toutefois, cela ne signifie pas que ces insectes comprennent pourquoi l’intervention est appropriée, soulignent les chercheurs dans le New Scientist. Il semble plutôt qu’il s’agisse d’un comportement inné.

D’abord démontrées en laboratoire, les conséquences des bruits maritimes sur les mollusques s’observent également sur le terrain, selon cette recherche menée à Saint-Pierre-et-Miquelon, archipel français situé au sud de Terre-Neuve.

Les chercheurs appuient en partie leur modélisation sur des systèmes de haute pression observés bien plus près de chez nous, c’est-à-dire dans l’atmosphère terrestre. Ces systèmes, appelés « dômes de chaleur », surviennent régulièrement dans certains courants-jets, et jouent un rôle important dans le contexte d’événements météorologiques extrêmes, tels que des vagues de chaleur et des sécheresses.

Les scientifiques croient toutefois que cette traversée était accidentelle. Pendant qu’ils effectuaient leur voyage habituel de l’Europe vers l’Afrique, les papillons auraient été emportés par les vents au-dessus de l’Atlantique et ils auraient tout simplement continué à voler jusqu’à ce qu’ils touchent terre.

Dans des conditions normales, une perte de diversité n’aurait pas été un obstacle à leur survie. Cependant, il est possible qu’ils se soient retrouvés vulnérables à un changement rapide de leur environnement, comme une nouvelle maladie ou une perturbation climatique.

Selon une estimation de la NASA, il y aurait en orbite 25 000 objets faisant au moins 10 centimètres de large —une taille suffisante pour faire un trou dans un vaisseau en cas de collision. Et peut-être un demi-million d’objets mesurant entre 1 et 10 centimètres.

Bien que le grand patron de l’agence spatiale américaine, Bill Nelson, ait évoqué une « course » à la Lune alors que son propre programme Artemis vise une mission habitée en orbite lunaire en 2025 et un premier alunissage en 2026 (si tout va bien), plusieurs scientifiques rejettent cette façon de voir les choses.

Les scientifiques en savent très peu sur les interactions entre l’héliosphère et le « monde extérieur »: les seules données directes sont celles des sondes Voyager 1 et 2 qui, depuis les années 2010, sont arrivées dans la région de cette « ultime frontière » de notre système solaire.