Dans le cas du manchot, mises bout à bout, ces 10 000 et quelques siestes totalisent environ 11 heures de sommeil. Il n’est toutefois recommandé à aucun humain de tenter de les imiter…
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« La sphère masculiniste sort des hypothèses de leur contexte et les enchâsse dans leurs doléances, leurs expériences personnelles et leur vision sexiste du monde. »
Il s’agit bel et bien de relations sexuelles qui pourraient résulter en des bébés. Mais il pourrait y avoir une raison anatomique à cela: la taille disproportionnée du pénis.
La question n’est pas aussi absente qu’on peut l’imaginer au Canada. Bien que l’éducation y soit plus centralisée (l’éducation est la prérogative des provinces, et un «conseil scolaire» aussi facile à infiltrer que celui du Texas n’a pas son équivalent), les organismes américains les plus militants ont souvent des branches canadiennes.
Par essais et erreurs, les experts tentent de découvrir les véritables fonctions de ces gènes ou, à l’inverse, de découvrir quel serait le génome « minimal » qui permettrait encore à un tel organisme de vivre et de se reproduire.
Des avions, des ballons, des sismographes, des détecteurs d’infrasons et d’autres équipements, étaient donc à l’écoute le 24 septembre, entre le moment où la capsule est entrée dans l’atmosphère au-dessus de San Francisco, et celui où son parachute s’est déployé, sept minutes plus tard.
Pour la cosmologie, c’est rien de moins que sa plus importante controverse: une controverse qui se rattache à la composition de l’Univers, dont seulement 5 % est fait de matière ordinaire, contre 27 % de « matière sombre » et 68% d’énergie sombre.
La poussière générée par cet impact aurait pu empêcher la majeure partie des rayons du Soleil d’atteindre le sol. Entraînant du coup la mort d’une bonne partie des végétaux.
« Nos travaux sont un avertissement: lorsque nous trouvons des planètes situées dans une zone habitable, il ne faut pas automatiquement présumer qu’elles peuvent abriter de la vie. »
Ce serait la première fois qu’on peut documenter la ménopause chez des primates autres que nous, insiste l’étude parue le 27 octobre dans la revue Science.