Déjà, l’extraction des ressources les plus souvent mentionnées — le gaz et le pétrole — restera une entreprise extrêmement coûteuse et ce, même si la route maritime devait être libre de glace à l’année.
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Et en tête du classement des nations dépensant le plus pour s’armer jusqu’aux dents, on trouve les États-Unis, la Chine et la Russie, mais aussi l’Allemagne et l’Inde.
« La guerre contre l’Ukraine a accéléré le déclin des ventes d’armes russes, parce que davantage d’armements sont requis sur le champ de bataille, les sanctions compliquent la fabrication et la vente d’armes, et les États-Unis et leurs alliés font pression sur les autres pays pour ne pas acheter d’armements russes. »
« Les choses ne se sont pas améliorées; nous avons malgré tout espoir que les choses se termineront, un jour, avec une paix juste. »
« Les zones reboisées pourraient contribuer à la création de corridors humanitaires écologiques et soutenir la démilitarisation, en créant des zones tampons pour bâtir et préserver la paix. »
Interceptés est un bon, voire un très bon documentaire. Un film qui en dit, qui en montre juste assez pour que l’on comprenne ce qui s’est passé, au cours des premiers mois de la guerre, et ce qui se passe probablement encore, sur le terrain. Une oeuvre terrifiante de part son côté ordinaire… et donc une oeuvre tout à fait nécessaire.
La communauté des chercheurs en science politique qui étudie l’évolution des démocraties, n’est peut-être pas si surprise de ce qui se passe aux États-Unis.
Sur une centaine de sociétés fabriquant des armements et offrant des services de sécurité, 41 sont installées aux États-Unis; celles-ci ont cumulé un chiffre d’affaires de 317 milliards de dollars américains, l’an dernier, soit plus de la moitié du total.
« Alors que Poutine ne semble manifester aucun désir de faire la paix, nous ne pouvons qu’espérer que la machine de guerre russe ne s’épuise d’elle-même – et que les conséquences à long terme ne soient pas fatales. »
Bon nombre d’anciens tertres funéraires ukrainiens avaient été endommagés dans deux régions présentement sous occupation russe, ce qui pourrait représenter une violation du droit international.
