Dans le cadre du 20e festival Les Casteliers, on nous propose le récit autobiographique de Mélanie Baillairgé sur le thème de l’eau, récit sollicité par Amélie Poirier, sa compagne de création.
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Constellée de moments fort bien choisis et interprétés, Créatures est une oeuvre plombée par un certain laissez-aller, un flou artistique, certes, mais surtout, ultimement, passablement ennuyant. C’est bien dommage…
Il va de soi que le sujet est très grave et que les épreuves passées et présentes de Coralie sont loin d’être enviables. Mais l’autrice a pris le parti de distraire son public et d’adopter une posture d’auto-dérision qui lui fait honneur et qui épargne le monde médical.
Une vie intelligente fait feu de tout bois. Et si l’on ne doute aucunement de la bonne volonté de ses créateurs et de ses interprètes, on ne peut que se demander ce qui s’est passé lorsqu’est venu le temps d’en écrire le texte.
Proposition certainement ambitieuse, si ce n’est parfois un peu éparpillée, Oh! Canada propose un regard sans complaisance sur l’existence, d’un océan à l’autre, de cette langue autant omniprésente que menacée. À découvrir.
Programme double franchement audacieux, proposition décapante et renversante, Bobo et Momo + Cycle témoigne clairement de la volonté d’Espace libre de sortir des sentiers battus. Et on ne peut qu’espérer, en ces temps de conformité maladive, que cette velléité de changer les choses se poursuive encore longtemps.
Il n’y a rien de fondamentalement mauvais, dans Le Prince. Au contraire, l’oeuvre apporte une bonne dose de rigolade dans un contexte où tout semble aller terriblement mal. Mais au-delà du rire, au-delà des gags des fois franchement étranges, on se demande ce qu’il reste…
Intrigante, étonnante, orginale, qui viendra même désarçonner les spectateurs à plus d’une reprise, Une vie de femme est une oeuvre tout à fait pertinente en cette époque de réalités multiples imputables au télescopage du numérique et du physique. Il ne lui manque, peut-être, que ce point focal, ce centre autour duquel trouver refuge. Peut-être a-t-il disparu, lui aussi. Comme Marie.
Efficace, rigolo, et surtout capable d’une introspection qui fait franchement du bien, Viqueens: saga nordique est une oeuvre combinant fort efficacement l’humour et les réflexions sociales. Le genre de pièce qui fait franchement du bien, dans les circonstances actuelles.
Au son d’une musique de circonstance (Antoine Bédard) et sous des éclairages (Robin Kittel-Ouimet) subtils, mais très efficaces, Évelyne Rompré casse la baraque. Courez la voir jusqu’au 15 février.