Moins du tiers des personnes interrogées (26 %) ont indiqué, l’an dernier, qu’elles payaient pour accéder à des nouvelles ou des actualités en ligne.
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« Les effets négatifs des médias sociaux sur le bien-être ne découlent pas seulement du fait que nous nous comparons à d’autres, mais parce que nous pensons que les autres ont une meilleure opinion de nous-même que la façon dont nous nous voyons, dans notre tête. »
Au dire des chercheurs, l’analyse suggère que les efforts visant à éduquer le public à propos des deepfakes pourrait saper, par inadvertance, la confiance envers les véritables vidéo.
Comme le rappelle le journal britannique The Guardian le 11 octobre, la Russie est connue des experts pour avoir utilisé X pour diffuser de la désinformation, et les événements des derniers jours laissent croire « qu’elle semble avoir capitalisé sur le conflit israélo-palestinien ».
Colette Brin, directrice du Centre d’étude sur les médias de l’Université Laval, explore les conclusions d’un coup de sonde révélant que les Québécois ont peu changé leurs habitudes de consommation de nouvelles sur le web.
Ultimement, les chercheurs affirment que les résultats de l’étude laissent entendre que la répétition de mensonges par les politiciens pourrait jouer un rôle important dans la création de fausses perceptions au sein du public.
Il s’agit majoritairement de femmes qui ont remplacé les croyances traditionnelles avec leur propre évangile via Instagram et d’autres plateformes. Elles contactent d’autres femmes pour leur indiquer comment « être la meilleure version d’elles-mêmes », même si le média et le message viennent flouter la séparation entre le religieux et le séculier.
Les utilisateurs de TikTok qui s’oppose à la vaccination contre la COVID-19 utilisent un langage volontairement codé, des mots mal écrits, ainsi que des mots-clics alternatifs pour échapper aux efforts de lutte contre la désinformation.
Plus tôt ce mois-ci, l’Association des psychologues américaines a publié pour la première fois des lignes directrices, recommandant entre autres aux parents de suivre de plus près l’usage que font leurs ados des réseaux.
Une partie de la solution repose certainement entre les mains des plateformes elles-mêmes, ou entre les mains des gouvernements qui vont tôt ou tard les réglementer.