Ces publicités cachées tendent à être associées à de jeunes « marques » possédant un grand nombre d’abonnés sur la plateforme X.
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Une étude séparée, parue le 31 mars dans la revue Health Promotion International, rappelle que la dissémination de désinformation par les réseaux sociaux, est incontestablement « une menace pour la santé publique ».
« Si nous voulons développer des sources d’énergie plus propres et décentralisées, nous devons comprendre l’opinion publique envers des technologies comme l’énergie solaire. »
En moyenne, le nombre de messages de ce genre était de 50% plus élevé que lors des mois précédant la transaction, y compris une utilisation plus fréquente d’insultes homophobes, transphobes et racistes.
Le mauvais côté de cette évolution pourrait être que toutes les personnes influentes qui quittent X l’abandonnent à ceux qui diffusent de la désinformation et qui sont peut-être contents d’avoir tout à coup moins de voix discordantes dans leur environnement.
Un peu plus d’un internaute québécois sur trois (37%) dit rencontrer « très souvent ou régulièrement » des fausses nouvelles en ligne… alors qu’un peu moins du tiers des répondants disent avoir fortement confiance dans leur capacité de distinguer le vrai du faux sur internet.
« Si tous les liens étaient ténus, au mieux, l’étude a permis de découvrir que différentes plateformes avaient des effets variés: aller sur TikTok permettait d’améliorer légèrement notre contrôle de l’attention, alors que passer du temps sur Facebook était partiellement lié à de la détresse chez les utilisateurs. »
« En utilisant ces formats, cette méthode d’échange permet aux étudiants de demeurer connectés, d’échanger, et d’être investis dans leur apprentissage. Cela permet aussi de recevoir de la rétroaction continue et authentique de la part des pairs et des éducateurs, en plus de s’assurer que les évaluations sont personnalisées et constantes, ce qui fournit une expérience d’apprentissage plus interactive. »
Parmi les 2000 vidéos produites depuis près d’un an: plusieurs qui adoptent le point de vue russe dans la guerre en Ukraine, plusieurs favorables à Donald Trump. Et des thèmes récurrents: le racisme envers les Blancs, l’immigration illégale aux États-Unis.
« Toutes les plateformes possèdent des normes, et il n’y a aucun problème de liberté d’expression là-dedans. C’est le coût de faire des affaires dans plusieurs pays. »