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A lot has happened in the last decade. For starters, I had way more hair, Facebook was in the news for less nefarious reasons, and I was just still living with my parents. Let’s see….What else…. Oh yes. A trenchcoat clad Samuel L. Jackson said two simple words: “Avenger’s Initiative”. Does anyone remember how they felt when they heard those two words? I do, and they were magical and promising. My young brain couldn’t imagine the effect they would have.

Encensé déjà comme le messie de la représentation afro-américaine dans la culture hollywoodienne, il devient risqué de vouloir critiquer objectivement une telle œuvre sans tomber ouvertement dans un débat de races déloyal. Néanmoins, si l’expérience n’en demeure pas moins décoiffante, force est d’admettre que Black Panther tourne rapidement en rond en plus de ressasser certains replis qui font franchement sourciller.

Qu’on le veuille ou non, les films adaptés des superhéros de Marvel n’ont jamais été reconnus pour leur originalité, mais davantage pour leur efficacité, surtout face au moule que Disney leur a fait répéter ad nauseam au fil des multiples épisodes de l’univers qui se succèdent plusieurs fois par année. Quelle surprise alors d’y voir un cinéaste au style singulier réussir avec insistance à y insuffler son propre aura dans ce qui pourrait bien être la proposition la plus déjantée de tout le Marvel Cinematic Universe jusqu’à maintenant.

Vilipendé à cause des attentes que son volet précédent a avec surprise créées, Guardians of the Galaxy Vol. 2 n’a probablement pas autant satisfait que tous s’y attendait. Néanmoins, le plus récent Marvel à être disponible en DVD, à défaut d’être trop long, s’avère être un blockbuster survitaminé qui divertit à défaut d’abuser sur le plan émotionnel, un petit ajout au premier film dont on n’avait pas nécessairement besoin.

A blind devil, a man with diamond skin, a powerhouse snarker, and an idealist infused with positive energy all walk into a bar. The bar is destroyed, alliances are reluctantly made, and no one has the fun of a hangover.

With great power comes great responsibility. We all heard this in one way or another, whether it was from the dozens of cartoons, the handful of movies, and thousands of comics. This phrase cannot have more meaning than with the creation of this movie. When you mix an iconic character with two powerhouse movie studios, you can get a disastrous result. Who knew that we’d end up with a wonderful Spider-Man movie?

Disney Marvel veut les droits de Spider-Man depuis tellement longtemps déjà que maintenant qu’ils se sont enfin approprié le butin des mains de Sony, ils ont couru plus vite que leur ombre pour livrer un film qui anticipe le plaisir avant même d’avoir laissé le temps au spectateur de le ressentir. Après tout, quand ton film de superhéros débute avec la genèse de ton vilain de service, disons que cela en dit long sur là où résident les forces de ton entreprise.

Marvel nous a souvent appris que c’était ses films de superhéros les plus inattendus qui s’avéraient les plus surprenants et souvent satisfaisants. Cela expliquerait l’incommensurable succès du premier volet des Guardians of the Galaxy, qui a été accueilli à bras ouverts autant par la critique que par le public. Voilà que toute la bande revient dans une nouvelle aventure survitaminée qui veut absolument faire plaisir, peut-être même un peu trop, à défaut de divertir amplement.

Avant de se faire ruiner à petit feu par un univers cinématographique de plus en plus confus et des films de plus en plus déplorables, DC Comics a eu son Watchmen, et Marvel est bien passé à deux doigts d’avoir son Logan. Ce, avant de retomber dans la majorité des pièges qui empêchent habituellement les films de X-Men de se sortir de ce qui les confinent dans la catégorie des divertissements à grand déploiement, sans plus. Néanmoins, pour ce qu’il vaut, Logan a pratiquement tout d’un beau petit miracle et livre sans mal la marchandise.