En théorie, un pays pourrait règlementer l’usage des données personnelles d’une personne après son décès. Mais en l’absence d’interdit, l’état actuel de la technologie n’est pas si loin de pouvoir permettre cette « expérience ».
Browsing: informations personnelles
« Aucune application ne passe les tests de sécurité. Il est incroyable que tant de données à tous les niveaux ne soient pas codées par les applications, ce qui laisse la porte ouverte aux malversations. »
« La technologie évolue rapidement, ce qui entraîne l’émergence de nouveaux défis en matière de législation. Mais le principe de la vie privée, en tant que droit fondamental, ne devrait pas être modifié, et les droits de la personne ne devraient pas être compromis des suites des avancées technologiques. »
Les fonctionnalités limitées et la protection renforcée de la vie privée ne sont pas le modèle d’affaires des géants de la technologie.
Avec plus de 1,25 milliards d’habitants inscrits, Aadhaar est conçue pour fournir une identité légale standardisée pour identifier tous les citoyens indiens, incluant ceux qui n’avaient pas de documents d’identité par le passé.
Les exécuteurs testamentaires et autres spécialistes réclament une réforme des lois pour mieux gérer les biens numériques.
Vos données biométriques valent-elles 10$?
Une nouvelle étude de l’Université James Cook avance que les restrictions toujours plus complexes de nombreux sites web en matière de sécurité des mots de passe mènent souvent à la frustration des utilisateurs et entraînent de mauvaises pratiques pour protéger les données et autres services normalement cachés derrière des portes numériques closes.
L’impact de la pandémie de COVID-19 se fait aussi sentir du côté de la consommation, et plus spécialement des risques de fraude. Au moment où les achats en ligne se sont multipliés, confinement oblige, le nombre de cas de fraude s’avère conséquent, selon un récent sondage: 36% des Québécois et 38% des Canadiens disent avoir été victimes d’une fraude potentielle, ou ont adopté un comportement susceptible d’accroître le risque de fraude depuis le début de la crise au pays, en mars 2020.
L’assistant vocal d’Amazon, Alexa, servirait de porte d’entrée pour tout une série de programme malveillants qui représentent un risque important en matière de protection de la vie privée, selon une nouvelle étude.