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Ils ont publié le 27 août une méta-analyse, c’est-à-dire une revue de la littérature scientifique, concluant à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine contre la COVID-19. Ça leur a valu une série de messages d’insultes, de l’intimidation et jusqu’à des menaces.

Sur le front de la pandémie, les choses vont plus mal que jamais aux États-Unis… et voilà que pourtant, la Suède vient de dépasser nos voisins du sud pour le nombre de nouveaux cas par million d’habitants.

L’annonce a fait le tour du monde lundi: un des 200 vaccins actuellement testés contre le virus responsable de la COVID-19 serait « efficace à 90% ». Une nouvelle encourageante, mais qui ne signifie pas qu’on est près de la ligne d’arrivée. Le Détecteur de rumeurs isole sept choses qui restent à déterminer.

Si les confinements du printemps ont apporté un léger répit aux émissions de gaz à effet de serre, les choses étaient déjà revenues à la normale au cours de l’été. Mais la planète, elle, n’a pas connu de répit, l’année 2020 ayant continué d’accumuler les extrêmes pendant que les humains avaient les yeux fixés sur un virus.

Si vos rêves ne sont plus les mêmes depuis le début de la pandémie, vous n’êtes pas seuls. Et si vous êtes plutôt de ceux qui ne se souviennent pas de leurs rêves, sachez que ceux qui s’en souviennent, eux, ne rêvent pas juste de virus.

Si la première vague de la pandémie de COVID-19 avait notamment poussé les pays riches à entrer dans une course, les uns contre les autres, pour se procurer du matériel de protection médicale, notamment des masques, des gants et tout le nécessaire pour effectuer des tests de dépistage, la deuxième vague menace encore plus d’accentuer la politisation de la crise, une tendance dangereuse contre laquelle met en garde l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Des deux côtés de l’Atlantique, les États-Unis, la France, la Suède et d’autres pays, font face à la même situation: une deuxième vague qui frappe plus fort que la première, avec encore plus de cas qu’au printemps et ce, plus tôt dans la saison froide que ce qui avait été prévu — faisant craindre que le pire soit encore à venir.

Des pandémies qui surviendront plus rapidement et plus fréquemment; des économies nationales encore plus touchées par les impacts de ces maladies mortelles… D’éminents chercheurs mettent en garde contre les conséquences catastrophiques, pour notre civilisation, si nous ne cessons pas immédiatement certaines pratiques particulièrement délétères, comme la déforestation massive.