Pour les enfants, ce Lego Star Wars: Rebuild the Galaxy devrait suffire comme objet de divertissement. Mais pour les adultes, au-delà de l’idée de se reposer les méninges pendant environ 90 minutes, on se demandera s’il ne faudrait pas plutôt renouer avec l’excellent premier film d’animation de Lego, justement, même si l’on est un amateur fini de sabres laser et de bruits dans l’espace.
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Hugo Prévost et Kevin Laforest s’aventurent du côté du plus récent film d’André Forcier, un portrait original d’un Faubourg à m’lasse aujourd’hui disparu.
1995 fait le travail. Et avec de petits détails non négligeables ici et là, même sous-développés, le film parvient à justifier une certaine pertinence. Combien de temps suivrons-nous Trogi dans ses aventures? Dur à dire, mais pour l’instant, on s’accroche avec lui et on se surprend à s’intéresser à comprendre pourquoi il est devenu qui il est devenu.
Selon une politologue de l’Université Duke, les sondages aux résultats sensationnalistes minent l’image que la société se fait d’elle-même et peuvent même remettre en question la capacité d’une population à faire des choix sensés ou à choisir un gouvernement adéquat.
Et plus si affinités ressemble un peu à quelque chose cuisiné à la hâte. Ou à un rôti laissé trop longtemps au four. Rien de catastrophique, mais certainement une comédie qui aurait mérité plus d’amour.
Présentant les meilleurs films de braquage jamais réalisés dans la meilleure résolution qui soit, le coffret Ocean’s Trilogy est un must pour tous les amateurs de Steven Soderbergh, et les trois longs-métrages sont toujours aussi divertissants aujourd’hui qu’au moment de leur sortie initiale en 2001, 2004 et 2007.
Sur scène, Matthew et son oncle apprendront à mieux se connaître, se dévoileront l’un à l’autre. Pour éventuellement mieux s’accepter mutuellement. Une oeuvre efficace, drôle et triste à la fois. Et une soirée libre, ensuite. Une façon très agréable de faire vivre l’art, c’est certain.
À force de vouloir garder un rythme effréné, on en vient à se demander si l’on n’assiste pas à une version théâtrale d’une sitcom des années 1990, un genre de Watatatow sur les stéroïdes où tous les sujets un peu troublants sont concentrés en un seul épisode. Et cela est bien dommage pour S’enjailler, qui a autrement le mérite de sortir des sentiers battus.
Aussi drôle que profond, aussi revendicateur que forçant à la réflexion, Tueuse de joies patriarcales est une autre pierre qu’il est nécessaire d’ajouter à l’édifice d’un monde meilleur. À lire.
Un classique? Probablement pas. Sauf que nous sommes loin de l’échec anticipée par l’affiche, ce qui est déjà ça de gagné.