Avant cette recherche, la balance penchait déjà beaucoup en défaveur de l’humain, la disparition de certains de ces grands animaux correspondant à l’arrivée des Homo sapiens en Australie ou en Amérique.
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En filigrane, c’est la biologie humaine, bien plus que la biologie des primates, qui intéresse ceux qui vont plonger dans ces génomes, incluant l’étude de nos maladies causées ou aggravées par des mutations encore mal connues.
Cette étude permet aussi de démontrer que les Hommes de Néandertal, qui vivaient à la même époque que les humains ayant occupé la grotte à cette période précise, n’ont pas conçu des armes à propulsion mécaniques, comme l’arc ou d’autres lanceurs.
Cette trouvaille constitue aussi l’une des plus anciennes sépultures au monde d’un bébé. Avec les parures de coquillages et les différents objets, qui forment un lien entre les vivants d’alors et les morts, cette sépulture s’avère riche en informations.
En migrant dans les pays du nord de l’Europe, les Homo sapiens ont été confrontés à des pays moins ensoleillés et à des journées plus courtes, leur peau plus sombre a dû être remplacée progressivement par une peau plus pâle, absorbant donc davantage de rayons UV, produisant donc davantage de vitamine D.
La question renvoie à ce qui s’est passé, il y a quelques millions d’années, pour que certains de nos ancêtres réalisent qu’ils pouvaient utiliser des cailloux, et même les améliorer.
Rien n’indique cependant un échange culturel ou de connaissances entre les deux groupes de nos lointains ancêtres.
Ce sont les plus vieux décodages de génomes d’Homo sapiens: 43 à 46 000 ans. Et ils contiennent deux surprises: plusieurs de ces premiers Homo sapiens d’Europe avaient des Néandertaliens dans leur arbre généalogique; et ces Européens ne sont pas reliés aux actuels Européens.
L’Homo sapiens serait apparu au Botswana, une région du sud de l’Afrique, selon une recherche publiée cette semaine. L’annonce a cependant été rapidement contestée par des scientifiques. Le Détecteur de rumeurs s’est demandé pourquoi.
La réalité virtuelle vient au secours des paléontologues qui commencent à se sentir un peu mêlés avec tous ces crânes d’humains ou de pré-humains qu’on ne sait trop où placer dans notre arbre généalogique. Le résultat est l’image d’un crâne qui pourrait être ce à quoi ressemblait l’ancêtre commun à tous les Homo sapiens, il y a 300 000 ans.