17 courtes histoires pour goûter à l’humour déroutant et philosophique du bédéiste.
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Si, pour plusieurs, la bande dessinée est synonyme d’évasion et de divertissement, elle est aussi capable d’être instructive, comme le prouve Et l’homme créa les dieux, un album passionnant qui s’attaque à l’un des plus épineux sujets qui soit : la religion.
Après un premier tome décrivant les ravages d’une pandémie mondiale ressemblant beaucoup à la COVID-19, l’épisode 2 de La Chute propose un récit de survie un peu plus convenu, dans un monde où la civilisation s’est effondrée.
Ce ne sont pas tous les bédéistes québécois qui parviennent à se tailler une place de l’autre côté de l’Atlantique, mais après avoir publié Comment je ne suis pas devenu moine chez Futuropolis, Jean-Sébastien Bérubé récidive avec un second album autobiographique chez le même éditeur intitulé Vers la tempête, et Pieuvre.ca a eu la chance de discuter avec l’artiste natif de Rimouski.
À partir de l’adaptation radiophonique de La Guerre des mondes d’Orson Welles, le premier canular médiatique moderne, la bande dessinée A Fake Story convie les lecteurs à un polar aux apparences trompeuses.
Intitulé Le jambon, le bouddha et le tourteau, le troisième et dernier tome de la bande dessinée The Shaolin Cowboy conclut en beauté la trilogie complètement iconoclaste et ultraviolente de l’artiste Geof Darrow.
La bande dessinée Black-out lève le voile sur les travers de l’industrie cinématographique américaine d’antan, en relatant l’incroyable parcours de l’acteur Maximus Wyld, la toute première star « de couleur » d’Hollywood.
Tout en continuant la traversée du désert de son imperturbable héros, le second tome de The Shaolin Cowboy, qui se limite à présenter une seule et unique bataille s’étalant sur près de 140 pages, s’avère un peu décevant.
Western, zombies, démons, violence graphique et une touche de surréalisme se conjuguent pour faire du Shaolin Cowboy de Geof Darrow un véritable OVNI dans le paysage de la bande dessinée.
Avec The Nobody, Jeff Lemire s’approprie la célèbre histoire de L’Homme invisible de H.G. Wells afin de parler d’identité, de paranoïa, et de la mentalité des petites villes, où l’arrivée d’étrangers est souvent perçue comme une menace à la vie paisible des citoyens.