En regardant Borderlands, on se dit que la chose est bien dommage, car il y a une telle énergie qui se dégage à la fois de cet univers – qui est vibrant, créatif et coloré – et des personnages qu’on a presque envie de se dire qu’on voudrait leur donner une deuxième chance. À condition, bien sûr, de leur trouver un cinéaste qui aura plus à coeur l’univers et ce qui le compose que le résultat qu’il est possible d’en tirer.
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« On s’aime, nous deux », ne cesseront jamais de se dire nos deux protagonistes, comme s’ils avaient besoin de se convaincre. Et nous, pauvres cinéphiles, qui attendons avec impatience qu’on nous propose un tantinet de profondeur, un tout petit peu de développement des personnages, on regarde finalement le générique apparaître en se demandant s’il est possible de récupérer les 107 minutes de Simple comme Sylvain.
Hugo Prévost et Kevin Laforest discutent de ce long-métrage scénarisé, réalisé et coproduit par le bien connu Viggo Mortensen.
J’ai été agréablement surpris par The Fall Guy, un film qui accorde aux cinéphiles un regard privilégié sur la façon dont les long-métrages sont faits, et ce long-métrage de David Leitch plaira autant à ceux et celles qui apprécient autant l’action débridée que la comédie.
Toujours un sans faute sur le plan de la technique, Saving Private Ryan demeure un film marquant de l’histoire hollywoodienne. Force est d’admettre, toutefois, que l’esbroufe visuelle ne remplace pas un scénario très ordinaire et des personnages peu attachants que l’on fait disparaître au compte-gouttes, sans que cela ne nous affecte réellement.
Dans le cadre du festival Fantasia, deux courts-métrages explorent, l’un de façon sombre, et l’autre de façon plus excessive, la notion de bonne chair/chère.
Hugo Prévost et Chloé Baril s’amusent franchement avec ce film sud-coréen débordant de violence et d’humour, et donc tout à fait désigné pour le festival Fantasia.
Hugo Prévost et Chloé Baril explorent le film ELECTROPHILIA, présenté dans le cadre du festival Fantasia. Le tout en cinq minutes ou moins, ou c’est gratuit! (C’est toujours gratuit)
L’oeuvre est une étude sociologique des gens ordinaires, ceux qui peuplent nos journées sans que nous en gardions vraiment le souvenir. Et en ce sens, l’effort est intéressant, même si on aurait volontiers pris un peu plus d’étrangeté, un peu plus de bizarre, voire un peu plus d’émotions.
Twister était assurément en avance sur son temps, alors que les changements climatiques donnent de nos jours naissance à des saisons des tornades de plus en plus dévastatrices, et cette version remastérisée en ultra-haute définition constitue le prétexte parfait pour voir (ou revoir) l’un des meilleurs films catastrophe jamais réalisés.