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Good time arrive à point pour remettre les pendules à l’heure. En effet, si vous étiez en train de rater le bateau, à l’instar de Kristen Stewart qui s’émancipe avec brio grâce à Assayas, Pattinson multiplie les collaborations dorées pour pousser ses capacités au firmament, poussant les deux vedettes d’une franchise dont on ne prononcera pas le nom, à mener de front l’élite de la relève d’acteurs d’aujourd’hui. Mieux, le nouveau film des frères Safdie est rien de moins qu’électrisant.

Dans une université américaine, Noelle, étudiante en arts plastiques, est violée lors d’une soirée par un étudiant qui lui était tombé dans l’oeil. Mortifiée, terrorisée, horrifiée par le traitement qu’on lui réserve – avait-elle bu? A-t-elle provoqué son présumé agresseur? Que portait-elle? -, elle décide plutôt de prendre les choses en main et de se venger des violeurs en liberté sur le campus.

Dans un futur lointain, l’humanité, au bord du gouffre, se réfugie sous terre face à la menace des Nonsuch, d’étranges créatures extraterrestres que personne n’est vraiment en mesure d’identifier. Coincé dans un bunker, l’un des soldats humains cherchera à savoir si cette menace existe réellement.

Vingt ans! Vingt ans que le scénariste et réalisateur français Luc Besson a jeté un pavé dans la mare du cinéma de science-fiction en lançant Le Cinquième élément, un film qui combinait l’action d’un blockbuster hollywoodien à l’amour des visuels léchés qui anime le cinéaste. Avec Valérian et la Cité des mille planètes, Besson tente de raviver cette flamme et de rappeler ce grand succès.

Drôle de foutoir que ce Once Upon a Time in Venice qui ne montre aucun scrupule à exhiber les différents grands films qu’il tente de pasticher, sans jamais parvenir à camoufler à quel point il est un mauvais film. Toutefois, c’est aussi la première fois depuis longtemps où l’on voit Bruce Willis avoir autant de plaisir, ce, encore une fois, un peu à nos dépens.

Disney Marvel veut les droits de Spider-Man depuis tellement longtemps déjà que maintenant qu’ils se sont enfin approprié le butin des mains de Sony, ils ont couru plus vite que leur ombre pour livrer un film qui anticipe le plaisir avant même d’avoir laissé le temps au spectateur de le ressentir. Après tout, quand ton film de superhéros débute avec la genèse de ton vilain de service, disons que cela en dit long sur là où résident les forces de ton entreprise.

Un été montréalais n’est pas complet sans le Festival Fantasia et sa programmation toujours plus éclectique et éclatée. Voilà donc que s’ébranlera, dans une semaine, la caravane cinématographique de l’événement. Cette année encore, les têtes d’affiche ne manquent pas… tout comme les étrangetés les plus surprenantes.