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Les Canadiens, les Belges, les Suisses et d’autres aiment ces études qui semblent conclure que les gens bilingues sont plus intelligents. Mais dans un contexte où beaucoup d’études en psychologie sont aujourd’hui remises en question pour leur manque de sérieux, il faut observer les « effets du bilinguisme » avec des pincettes.

Peut-on rire de tout? Cette question, qui revient souvent sur les tribunes publiques, a trouvé écho, cette fois-ci, dans une petite salle bondée de scientifiques, réunis à Washington, à l’occasion du plus récent congrès de l’Association américaine pour l’avancement des sciences. À l’avant, trois panélistes invités — une chercheuse et deux humoristes versés dans la science — ont répondu à cette question par l’affirmative: il est tout à fait possible de rire de sujets sérieux liés à la science, à condition d’utiliser quelques détours…

La nouvelle provient des lichens. L’analyse de ce modeste matériel vivant, présent partout au Québec, situe la limite nord de la pollution atmosphérique, liée aux activités humaines, à près de 100 kilomètres au nord de Chibougamau et de Sept-Îles, soit à 200 km au nord du Lac-Saint-Jean.

Toutes les revues de l’année 2015 en parlent, et toutes les prévisions 2016 aussi: CRISPR, ou la manipulation des gènes avec une plus grande précision — y compris, ce qui inquiète beaucoup plus, la manipulation des gènes de l’embryon. Pour cette année ou pour cette décennie?

Le mélange entre politique et médias continue de faire grincer des dents. Plus d’un an après l’élection de Pierre Karl Péladeau comme député du Parti québécois, et alors que l’ex-homme d’affaires est aujourd’hui le chef de la formation souverainiste, le Centre d’étude des médias (CEM) de l’Université Laval publie finalement son rapport sur le « cas » Péladeau. Verdict? Le mariage des genres ne prend toujours pas au sein d’une bonne partie de la population.

Une petite granule, deux petites pilules, trois petits comprimés. Quand il s’agit de soigner à la fois son arthrite, son diabète et son hypertension, il y a de quoi à avoir les mains pleines! « En effet, plus une personne présente de maladies, plus il y a de traitements. Les prescriptions se font souvent en silo. Ça finit par faire de jolis cocktails ! », avance Caroline Sirois, professeure et chercheuse au Centre d’excellence sur le vieillissement de Québec.